Fiers de plus de 60 ans de pratiques innovantes aux côtés des enfants et des jeunes, les Francas vous accompagnent pour développer vos projets d’éducation, au centre de loisirs, à l’école, dans l’espace public…
Les actions labellisées ci-dessous sont des opérations nationales, menées au niveau local par les associations départementales. Elles sont une porte d’entrée vers la pluralité du champ d’actions pédagogiques des Francas.
Média & numérique 
L’association départementale les Francas du Gard est engagée au programme européen et national de sensibilisation des enfants/jeunes et leurs familles à une meilleure maîtrise de leur vie numérique.
En tant qu’Ambassadeurs du programme « Internet Sans Crainte », nous disposons de nombreuses ressources et des conseils pratiques pour accompagner les jeunes de 6 à 18 ans et leurs parents dans leur vie numérique et l’usage des écrans: gestion du temps d’écrans, risques et dangers des écrans et d’internet, sensibilisation et prévention du cyberharcèlement, parentalité numérique, etc.
Pour tout renseignement supplémentaire concernant les ressources pédagogiques et la mise en place des actions de sensibilisation des enfants, des jeunes et des parents autour du numérique, n’hésitez pas à nous contacter par téléphone: 06 46 26 81 77 ou par mail: mstamelaki@francas30.org
Découvrez le programme « Internet Sans Crainte » : internetsanscrainte.fr/
Entre la Fête de la Science et la Journée mondiale des télécommunications et de la société de l’information (17 mai) les Francas organisent en partenariat avec l’Association Française d’Astronomie une opération nationale à destination des enfants et des adolescents : le Cyber r@llye scientifique. Le but est de permettre aux enfants et aux adolescents la pratique simultanée des activités scientifiques et techniques et des technologies de l’information et de la communication, de valoriser leurs connaissances, d’aller au bout de ses envies de découvrir, et de comprendre.
Entre la Fête de la Science et la Journée mondiale des télécommunications et de la société de l’information (17 mai) les Francas organisent en partenariat avec l’Association Française d’Astronomie une opération nationale à destination des enfants et des adolescents : le Cyber r@llye scientifique. Le but est de permettre aux enfants et aux adolescents la pratique simultanée des activités scientifiques et techniques et des technologies de l’information et de la communication, de valoriser leurs connaissances, d’aller au bout de ses envies de découvrir, et de comprendre.
La règle du jeu est simple : les jeunes intéressés se constituent en équipes et lancent un défi scientifique à d’autres jeunes de leur âge par le biais d’internet.
Les semaines précédant le lancement du défi, les membres des équipes ont eu la possibilité de se faire aider dans la préparation de leur épreuve par un scientifique ou un animateur.
Les équipes participantes sont issues de toute la France (les pays d’Europe et du Maghreb sont invités) : écoles, collèges, lycées, clubs, centres de loisirs, familles. Il suffit de constituer un groupe pour participer.
Les défis sont mis en ligne début mai. Les équipes peuvent jouer durant un à quelques jours (chaque année la date est précisée mais reste liée au 17 mai – journée internationale UNESCO des sociétés de l’information). C’est via les nouvelles technologies (messagerie instantanée, wiki, internet, forum…) que les jeunes pourront échanger, s’entraider, valider les réponses et arriver au défi ultime qui permettra de déterminer le gagnant national.
Chaque défi, ainsi que des interviews en radio numérique, des reportages vidéos et les échanges entre équipes et scientifiques pourront être consultés par le grand public.
Entre la Fête de la Science et la Journée mondiale des télécommunications et de la société de l’information (17 mai) les Francas organisent en partenariat avec l’Association Française d’Astronomie une opération nationale à destination des enfants et des adolescents : le Cyber r@llye scientifique. Le but est de permettre aux enfants et aux adolescents la pratique simultanée des activités scientifiques et techniques et des technologies de l’information et de la communication, de valoriser leurs connaissances, d’aller au bout de ses envies de découvrir, et de comprendre.
La règle du jeu est simple : les jeunes intéressés se constituent en équipes et lancent un défi scientifique à d’autres jeunes de leur âge par le biais d’internet.
Les semaines précédant le lancement du défi, les membres des équipes ont eu la possibilité de se faire aider dans la préparation de leur épreuve par un scientifique ou un animateur.
Les équipes participantes sont issues de toute la France (les pays d’Europe et du Maghreb sont invités) : écoles, collèges, lycées, clubs, centres de loisirs, familles. Il suffit de constituer un groupe pour participer.
Les défis sont mis en ligne début mai. Les équipes peuvent jouer durant un à quelques jours (chaque année la date est précisée mais reste liée au 17 mai – journée internationale UNESCO des sociétés de l’information). C’est via les nouvelles technologies (messagerie instantanée, wiki, internet, forum…) que les jeunes pourront échanger, s’entraider, valider les réponses et arriver au défi ultime qui permettra de déterminer le gagnant national.
Chaque défi, ainsi que des interviews en radio numérique, des reportages vidéos et les échanges entre équipes et scientifiques pourront être consultés par le grand public.
Pour répondre aux enjeux éducatifs de la société numérique, trois mouvements d’éducation populaire se sont associés autour du projet commun « D-clics-numériques » : La ligue de l’Enseignement, les Francas et les Ceméa.
Pour répondre aux enjeux éducatifs de la société numérique, trois mouvements d’éducation populaire se sont associés autour du projet commun « D-clics-numériques » : La ligue de l’Enseignement, les Francas et les Ceméa.
Ce projet tente de relever le défi éducatif de notre société numérique : permettre à tous les enfants et les jeunes de disposer des ressources nécessaires pour devenir des acteurs critiques de leurs pratiques quotidiennes. Ainsi, pour doter les acteurs éducatifs des compétences nécessaires pour appuyer les pratiques numériques des enfants et des jeunes, trois axes composés de sept parcours éducatifs ont été créés :
Vous pouvez consulter et télécharger ces différentes ressources pédagogiques ici :
Pour répondre aux enjeux éducatifs de la société numérique, trois mouvements d’éducation populaire se sont associés autour du projet commun « D-clics-numériques » : La ligue de l’Enseignement, les Francas et les Ceméa.
Ce projet tente de relever le défi éducatif de notre société numérique : permettre à tous les enfants et les jeunes de disposer des ressources nécessaires pour devenir des acteurs critiques de leurs pratiques quotidiennes. Ainsi, pour doter les acteurs éducatifs des compétences nécessaires pour appuyer les pratiques numériques des enfants et des jeunes, trois axes composés de sept parcours éducatifs ont été créés :
Vous pouvez consulter et télécharger ces différentes ressources pédagogiques ici :
Pour répondre aux enjeux éducatifs de la société numérique, trois mouvements d’éducation populaire se sont associés autour du projet commun « D-clics-numériques » : La ligue de l’Enseignement, les Francas et les Ceméa.
Ce projet tente de relever le défi éducatif de notre société numérique : permettre à tous les enfants et les jeunes de disposer des ressources nécessaires pour devenir des acteurs critiques de leurs pratiques quotidiennes. Ainsi, pour doter les acteurs éducatifs des compétences nécessaires pour appuyer les pratiques numériques des enfants et des jeunes, trois axes composés de sept parcours éducatifs ont été créés :
Vous pouvez consulter et télécharger ces différentes ressources pédagogiques ici :
Permettre aux enfants, aux jeunes de s’exprimer par la radio sur les ondes FM ou sur internet, de parler d’eux-mêmes, de ce qu’ils aiment, de ce qu’ils font, de débattre autour de thèmes qui les concernent, d’émettre les musiques qu’ils aiment ; chez eux, dans leurs communes, leurs quartiers…
Permettre aux enfants, aux jeunes de s’exprimer par la radio sur les ondes FM ou sur internet, de parler d’eux-mêmes, de ce qu’ils aiment, de ce qu’ils font, de débattre autour de thèmes qui les concernent, d’émettre les musiques qu’ils aiment ; chez eux, dans leurs communes, leurs quartiers…
C’est aussi leur permettre de s’affirmer, de valoriser des projets qu’ils ont conduits, c’est aussi porter un regard sur leur environnement, aller à la rencontre des autres qu’ils soient enfants, adolescents, adultes… Radios Francas est un réseau national et une démarche pédagogique visant à l’expression, à la participation, à la valorisation des enfants et des adolescents à travers la pratique de la radio et des médias en général.
Lesradiosfrancas.fr est le site des web radios Francas où vous pourrez retrouver des informations générales sur le projet et son mode de fonctionnement, mais également la web radio en ligne qui vous permettra d’écouter les contenus réalisés par les toutes les radios francas (web radios, radio FM et atelier d’expression radiophonique).
Radio Sommières, radio associative et pédagogique des Francas du Gard, fait partie du réseau des radios Francas.
Permettre aux enfants, aux jeunes de s’exprimer par la radio sur les ondes FM ou sur internet, de parler d’eux-mêmes, de ce qu’ils aiment, de ce qu’ils font, de débattre autour de thèmes qui les concernent, d’émettre les musiques qu’ils aiment ; chez eux, dans leurs communes, leurs quartiers…
C’est aussi leur permettre de s’affirmer, de valoriser des projets qu’ils ont conduits, c’est aussi porter un regard sur leur environnement, aller à la rencontre des autres qu’ils soient enfants, adolescents, adultes… Radios Francas est un réseau national et une démarche pédagogique visant à l’expression, à la participation, à la valorisation des enfants et des adolescents à travers la pratique de la radio et des médias en général.
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Radio Sommières, radio associative et pédagogique des Francas du Gard, fait partie du réseau des radios Francas.
Permettre aux enfants, aux jeunes de s’exprimer par la radio sur les ondes FM ou sur internet, de parler d’eux-mêmes, de ce qu’ils aiment, de ce qu’ils font, de débattre autour de thèmes qui les concernent, d’émettre les musiques qu’ils aiment ; chez eux, dans leurs communes, leurs quartiers…
C’est aussi leur permettre de s’affirmer, de valoriser des projets qu’ils ont conduits, c’est aussi porter un regard sur leur environnement, aller à la rencontre des autres qu’ils soient enfants, adolescents, adultes… Radios Francas est un réseau national et une démarche pédagogique visant à l’expression, à la participation, à la valorisation des enfants et des adolescents à travers la pratique de la radio et des médias en général.
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Radio Sommières, radio associative et pédagogique des Francas du Gard, fait partie du réseau des radios Francas.
Permettre aux enfants, aux jeunes de s’exprimer par la radio sur les ondes FM ou sur internet, de parler d’eux-mêmes, de ce qu’ils aiment, de ce qu’ils font, de débattre autour de thèmes qui les concernent, d’émettre les musiques qu’ils aiment ; chez eux, dans leurs communes, leurs quartiers…
C’est aussi leur permettre de s’affirmer, de valoriser des projets qu’ils ont conduits, c’est aussi porter un regard sur leur environnement, aller à la rencontre des autres qu’ils soient enfants, adolescents, adultes… Radios Francas est un réseau national et une démarche pédagogique visant à l’expression, à la participation, à la valorisation des enfants et des adolescents à travers la pratique de la radio et des médias en général.
Lesradiosfrancas.fr est le site des web radios Francas où vous pourrez retrouver des informations générales sur le projet et son mode de fonctionnement, mais également la web radio en ligne qui vous permettra d’écouter les contenus réalisés par les toutes les radios francas (web radios, radio FM et atelier d’expression radiophonique).
Radio Sommières, radio associative et pédagogique des Francas du Gard, fait partie du réseau des radios Francas.
Les loisirs inclusifs 
Suite à un premier groupe de travail entre les acteurs·rice·s associatif·ive·s agissants sur le droit des femmes et de l’égalité entre les genres, plusieurs constats ont été effectués :
De nombreux stéréotypes persistent dans le discours des parents, des enfants mais aussi de certains professionnels.
Il y a un réel besoin de formation des acteur·rice·s et une nécessité d’éduquer les enfants et les jeunes à l’égalité entre les filles et les garçons.
Deux principaux enjeux/axes ont été repérés : la lutte contre les stéréotypes liés au genre et l’éducation aux rapports filles·garçons et à la sexualité.
En s’inscrivant dans une démarche, l’espace éducatif n’a pas d’obligation de résultat, mais s’inscrit dans une organisation globale d’éducation et met en oeuvre l’ensemble des moyens qu’ils disposent sur son territoire de vie mais aussi par le biais d’un réseau d’acteur·rice·s repré·e·s.
Vous trouverez dans ce dossier un lexique permettant de tenir un langage commun, quelques pistes de réflexion et une fiche d’inscription à la démarche présentant votre structure et votre·vos plan·s d’actions
Objectifs de la démarche
• Mise en place de temps de formation à destination des professionnel·le·s educatif·ve·s.
• Accompagner les professionnel·le·s dans le repérage des freins et des leviers pour agir en faveur de l’égalité filles/garçons dans leurs structures.
• Déconstruire les stéréotypes de sexes et de genres dès le plus jeune âge, par la mise en œuvre de plan d’action en direction du public enfants et jeunes.
Mise en œuvre de la démarche
Afin de faire vivre cette démarche, une organisation dans le suivie et l’accompagnement sera mise en place :
• Temps de formation à destination des personnel·le·s éducatif·ve·s
• Mise à disposition d’un espace ressources en ligne
• Temps d’échange de pratique entre les acteur·rice·s educatif·ve·s
• Visite des structures inscrites dans la démarche afin de les accompagner sur la mise en œuvre de leur plan d’actions.
Condition d’inscription à la démarche
Cette démarche vise à améliorer la prise en compte de l’égalité des genres dans les espaces éducatifs du département. Les conditions ne doivent pas être un frein à l’inscription des structures, c’est pour cela que diverses d’entrées par thématiques sera proposée :
• Posture de l’adulte, son rôle éducatif
• Aménagement des espaces non genrés
• Proposition d’animation, jeux et jouets en direction d’une éducation non genrée
• Mise en œuvre de projets d’activités et d’animation à destination des publics enfants et jeunes
• Politique de gestion des ressources humaines raisonnée
• …
Pour valider une inscription, la structure doit s’inscrire dans une ou plusieurs thématiques en mettant en œuvre un plan d’actions. De plus, afin d’éviter les freins, l’inscription pourrait se faire à tout moment de l’année.
Vous pouvez télécharger le dossier d’accompagnement à l’inscription à la démarche.
Dossier d’inscription démarche EFG
Pour plus de renseignements : animation@francas30.org ou 06.12.12.17.39
Cette démarche est co-financée par :
Les Francas agissent pour une meilleure prise en compte de la condition enfantine et pour l’accès de tous les enfants et adolescents à l’action éducative, sur tous leurs temps de vie, et particulièrement sur leur temps libre.
Dans ce cadre, ils portent une attention constante à l’accueil des enfants en situation de handicap dans les centres de loisirs, et plus largement dans tous les espaces éducatifs afin de promouvoir une société solidaire et ouverte à la diversité.
Les Francas agissent pour une meilleure prise en compte de la condition enfantine et pour l’accès de tous les enfants et adolescents à l’action éducative, sur tous leurs temps de vie, et particulièrement sur leur temps libre.
Dans ce cadre, ils portent une attention constante à l’accueil des enfants en situation de handicap dans les centres de loisirs, et plus largement dans tous les espaces éducatifs afin de promouvoir une société solidaire et ouverte à la diversité.
Dans sa stratégie départementale de mise en œuvre du projet fédéral 2015 – 2020, l’association départementale des Francas du Gard réaffirme son engagement pour l’accueil d’enfants en situation de handicap dans les centres de loisirs éducatifs.
Elle réaffirme son lien au RELAIS LOISIRS HANDICAP 30, dont elle est membre fondateur.
Lien vers le RLH30 https://relais-loisirs-handicap30.org/relais-handicap-30/
L’Association départementale des Francas du Gard est signataire de la charte. En la signant, les Francas s’engagent à « permettre à la personne en situation de handicap de choisir, préparer et vivre ses vacances, ses loisirs parmi et avec les autres. »
Des outils et ressources pédagogiques pour vous accompagner :
Les Francas agissent pour une meilleure prise en compte de la condition enfantine et pour l’accès de tous les enfants et adolescents à l’action éducative, sur tous leurs temps de vie, et particulièrement sur leur temps libre.
Dans ce cadre, ils portent une attention constante à l’accueil des enfants en situation de handicap dans les centres de loisirs, et plus largement dans tous les espaces éducatifs afin de promouvoir une société solidaire et ouverte à la diversité.
Dans sa stratégie départementale de mise en œuvre du projet fédéral 2015 – 2020, l’association départementale des Francas du Gard réaffirme son engagement pour l’accueil d’enfants en situation de handicap dans les centres de loisirs éducatifs.
Elle réaffirme son lien au RELAIS LOISIRS HANDICAP 30, dont elle est membre fondateur.
Lien vers le RLH30 https://relais-loisirs-handicap30.org/relais-handicap-30/
L’Association départementale des Francas du Gard est signataire de la charte. En la signant, les Francas s’engagent à « permettre à la personne en situation de handicap de choisir, préparer et vivre ses vacances, ses loisirs parmi et avec les autres. »
Des outils et ressources pédagogiques pour vous accompagner :
Citoyenneté & participation 
Affichons la laïcité a pour ambition de sensibiliser les adolescent·es, les jeunes à la laïcité et à ses dimensions politiques et émancipatrices en proposant des actions pédagogiques pour dire, exprimer et faire vivre la laïcité en principes et en pratiques dans tous les espaces éducatifs.
L’action « Affichons la laïcité » vise à engager des adolescent·es fréquentant des centres de loisirs éducatifs, des clubs ados, des espaces jeunes, des collèges ou des lycées, des centres de formation des apprentis… dans la réalisation de dessins, comic-strips, caricatures « de presse », roman-photos illustrant les principes relatifs à la laïcité.
Ces créations peuvent être réalisées manuellement ou à l’aide des technologies numériques.
Télécharger le dossier pédagogique
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.
Cette action est co-financée par :
Les Francas, association laïque d’éducation populaire, inscrivent leur action dans le cadre du service public d’éducation et bénéficient de l’agrément « Association complémentaire de l’enseignement public ».
Les Francas, association laïque d’éducation populaire, inscrivent leur action dans le cadre du service public d’éducation et bénéficient de l’agrément « Association complémentaire de l’enseignement public ». Dans ce cadre, l’association départementale des Francas du Gard intervient dans plusieurs domaines liés à l’exercice à la citoyenneté et notamment la formation des délégués élèves. Nous inscrivons notre action en coopération avec les équipes pédagogiques de l’établissement scolaire en s’appuyant sur le projet d’établissement ou des problématiques repérées.
Les Francas, association laïque d’éducation populaire, inscrivent leur action dans le cadre du service public d’éducation et bénéficient de l’agrément « Association complémentaire de l’enseignement public ». Dans ce cadre, l’association départementale des Francas du Gard intervient dans plusieurs domaines liés à l’exercice à la citoyenneté et notamment la formation des délégués élèves. Nous inscrivons notre action en coopération avec les équipes pédagogiques de l’établissement scolaire en s’appuyant sur le projet d’établissement ou des problématiques repérées.
Le dispositif ATEC permet à des mineurs qui ont une idée, un projet collectif de s’associer sur une durée limitée pour la réalisation d’un projet d’action. La constitution en association « de fait » les implique dans l’élaboration et le vécu d’un projet d’association, cadre démocratique et fonctionnel dont les enfants ou les adolescent·e·s vont se servir pour élaborer et vivre ensemble ce projet d’action.
Le dispositif ATEC permet à des mineurs qui ont une idée, un projet collectif de s’associer sur une durée limitée pour la réalisation d’un projet d’action. La constitution en association « de fait » les implique dans l’élaboration et le vécu d’un projet d’association, cadre démocratique et fonctionnel dont les enfants ou les adolescent·e·s vont se servir pour élaborer et vivre ensemble ce projet d’action.
ATEC est ainsi un double projet d’enfants ou d’adolescent·e·s : un projet d’association et un projet d’action. La finalité du projet d’action définit l’objet de l’ATEC ; le projet d’association fonde ses règles de fonctionnement. Cette double dynamique se traduit dans les statuts de l’ATEC. Un adulte, l’accompagnateur ATEC, est le garant du bon déroulement de ce double projet.
Une ATEC peut être constituée par un groupe d’au moins trois individus. L’ensemble des membres du groupe sont mineurs. Le groupe est ouvert. Un enfant ou un·e adolescent·e peut envisager de ne pas poursuivre son implication dans le projet, comme un autre peut vouloir l’intégrer. Cette intégration nécessite d’informer préalablement les nouveaux membres du projet ATEC. Dans un projet ATEC, tous les enfants doivent être au cœur de l’action : ils doivent participer le plus possible à l’ensemble des étapes de l’élaboration et de la mise en œuvre de leur projet d’action et de leur projet d’association.
Pour plus d’information, n’hésitez pas à nous contacter.
Le dispositif ATEC permet à des mineurs qui ont une idée, un projet collectif de s’associer sur une durée limitée pour la réalisation d’un projet d’action. La constitution en association « de fait » les implique dans l’élaboration et le vécu d’un projet d’association, cadre démocratique et fonctionnel dont les enfants ou les adolescent·e·s vont se servir pour élaborer et vivre ensemble ce projet d’action.
ATEC est ainsi un double projet d’enfants ou d’adolescent·e·s : un projet d’association et un projet d’action. La finalité du projet d’action définit l’objet de l’ATEC ; le projet d’association fonde ses règles de fonctionnement. Cette double dynamique se traduit dans les statuts de l’ATEC. Un adulte, l’accompagnateur ATEC, est le garant du bon déroulement de ce double projet.
Une ATEC peut être constituée par un groupe d’au moins trois individus. L’ensemble des membres du groupe sont mineurs. Le groupe est ouvert. Un enfant ou un·e adolescent·e peut envisager de ne pas poursuivre son implication dans le projet, comme un autre peut vouloir l’intégrer. Cette intégration nécessite d’informer préalablement les nouveaux membres du projet ATEC. Dans un projet ATEC, tous les enfants doivent être au cœur de l’action : ils doivent participer le plus possible à l’ensemble des étapes de l’élaboration et de la mise en œuvre de leur projet d’action et de leur projet d’association.
Pour plus d’information, n’hésitez pas à nous contacter.
Le dispositif ATEC permet à des mineurs qui ont une idée, un projet collectif de s’associer sur une durée limitée pour la réalisation d’un projet d’action. La constitution en association « de fait » les implique dans l’élaboration et le vécu d’un projet d’association, cadre démocratique et fonctionnel dont les enfants ou les adolescent·e·s vont se servir pour élaborer et vivre ensemble ce projet d’action.
ATEC est ainsi un double projet d’enfants ou d’adolescent·e·s : un projet d’association et un projet d’action. La finalité du projet d’action définit l’objet de l’ATEC ; le projet d’association fonde ses règles de fonctionnement. Cette double dynamique se traduit dans les statuts de l’ATEC. Un adulte, l’accompagnateur ATEC, est le garant du bon déroulement de ce double projet.
Une ATEC peut être constituée par un groupe d’au moins trois individus. L’ensemble des membres du groupe sont mineurs. Le groupe est ouvert. Un enfant ou un·e adolescent·e peut envisager de ne pas poursuivre son implication dans le projet, comme un autre peut vouloir l’intégrer. Cette intégration nécessite d’informer préalablement les nouveaux membres du projet ATEC. Dans un projet ATEC, tous les enfants doivent être au cœur de l’action : ils doivent participer le plus possible à l’ensemble des étapes de l’élaboration et de la mise en œuvre de leur projet d’action et de leur projet d’association.
Pour plus d’information, n’hésitez pas à nous contacter.
Les conseils municipaux d’enfants et de jeunes ont notamment pour objectifs un apprentissage actif de la démocratie, une initiation à la vie politique et à la citoyenneté. Ils permettent de donner la parole aux enfants et aux jeunes, afin qu’ils s’expriment sur leurs souhaits et propositions concernant la vie de leur ville. Ils peuvent mettre en œuvre des projets pour améliorer le territoire au sein duquel ils vivent, sur les questions qui les concernent.
Les conseils municipaux d’enfants et de jeunes ont notamment pour objectifs un apprentissage actif de la démocratie, une initiation à la vie politique et à la citoyenneté. Ils permettent de donner la parole aux enfants et aux jeunes, afin qu’ils s’expriment sur leurs souhaits et propositions concernant la vie de leur ville. Ils peuvent mettre en œuvre des projets pour améliorer le territoire au sein duquel ils vivent, sur les questions qui les concernent.
La plupart du temps, les candidats mènent une campagne afin d’être élus et les élections sont organisées dans des conditions réelles (carte d’électeur, isoloir, bulletins de vote etc.). Néanmoins, les règles ne sont pas figées en la matière. Une fois élus, les enfants et les jeunes, dont le mandat est limité dans le temps, représentent l’ensemble des jeunes de la classe d’âge et du territoire concernés.
Les Francas du Gard, concernés par la participation des enfants et des jeunes, sont engagés depuis de nombreuses années dans l’encadrement et l’animation des conseils municipaux d’enfants et de jeunes.
Ce dispositif est co-financée par
Les conseils municipaux d’enfants et de jeunes ont notamment pour objectifs un apprentissage actif de la démocratie, une initiation à la vie politique et à la citoyenneté. Ils permettent de donner la parole aux enfants et aux jeunes, afin qu’ils s’expriment sur leurs souhaits et propositions concernant la vie de leur ville. Ils peuvent mettre en œuvre des projets pour améliorer le territoire au sein duquel ils vivent, sur les questions qui les concernent.
La plupart du temps, les candidats mènent une campagne afin d’être élus et les élections sont organisées dans des conditions réelles (carte d’électeur, isoloir, bulletins de vote etc.). Néanmoins, les règles ne sont pas figées en la matière. Une fois élus, les enfants et les jeunes, dont le mandat est limité dans le temps, représentent l’ensemble des jeunes de la classe d’âge et du territoire concernés.
Les Francas du Gard, concernés par la participation des enfants et des jeunes, sont engagés depuis de nombreuses années dans l’encadrement et l’animation des conseils municipaux d’enfants et de jeunes.
Ce dispositif est co-financée par
Les conseils municipaux d’enfants et de jeunes ont notamment pour objectifs un apprentissage actif de la démocratie, une initiation à la vie politique et à la citoyenneté. Ils permettent de donner la parole aux enfants et aux jeunes, afin qu’ils s’expriment sur leurs souhaits et propositions concernant la vie de leur ville. Ils peuvent mettre en œuvre des projets pour améliorer le territoire au sein duquel ils vivent, sur les questions qui les concernent.
La plupart du temps, les candidats mènent une campagne afin d’être élus et les élections sont organisées dans des conditions réelles (carte d’électeur, isoloir, bulletins de vote etc.). Néanmoins, les règles ne sont pas figées en la matière. Une fois élus, les enfants et les jeunes, dont le mandat est limité dans le temps, représentent l’ensemble des jeunes de la classe d’âge et du territoire concernés.
Les Francas du Gard, concernés par la participation des enfants et des jeunes, sont engagés depuis de nombreuses années dans l’encadrement et l’animation des conseils municipaux d’enfants et de jeunes.
Ce dispositif est co-financée par
Les conseils municipaux d’enfants et de jeunes ont notamment pour objectifs un apprentissage actif de la démocratie, une initiation à la vie politique et à la citoyenneté. Ils permettent de donner la parole aux enfants et aux jeunes, afin qu’ils s’expriment sur leurs souhaits et propositions concernant la vie de leur ville. Ils peuvent mettre en œuvre des projets pour améliorer le territoire au sein duquel ils vivent, sur les questions qui les concernent.
La plupart du temps, les candidats mènent une campagne afin d’être élus et les élections sont organisées dans des conditions réelles (carte d’électeur, isoloir, bulletins de vote etc.). Néanmoins, les règles ne sont pas figées en la matière. Une fois élus, les enfants et les jeunes, dont le mandat est limité dans le temps, représentent l’ensemble des jeunes de la classe d’âge et du territoire concernés.
Les Francas du Gard, concernés par la participation des enfants et des jeunes, sont engagés depuis de nombreuses années dans l’encadrement et l’animation des conseils municipaux d’enfants et de jeunes.
Ce dispositif est co-financée par
Une discussion à visée philosophique permet, à partir de son expérience, de questionner, de réfléchir et se confronter par l’argumentation et l’échange avec autrui sur des thématiques, des notions et des valeurs ainsi que des sujets d’actualité. Intégrer une telle démarche permet aux enfants et aux jeunes de prendre le recul nécessaire sur lui-même et de les accompagner à « grandir » et à comprendre le monde qui nous entoure.
Une discussion à visée philosophique permet, à partir de son expérience, de questionner, de réfléchir et se confronter par l’argumentation et l’échange avec autrui sur des thématiques, des notions et des valeurs ainsi que des sujets d’actualité. Intégrer une telle démarche permet aux enfants et aux jeunes de prendre le recul nécessaire sur lui-même et de les accompagner à « grandir » et à comprendre le monde qui nous entoure.
L’objectif n’est plus de « faire » mais d’apprendre à penser ensemble à ce que l’on a expérimenté, et à se construire des « habiletés de pensée » utilisables tout au long de sa vie.
Cette démarche qui vise à vous outiller par l’obtention d’un agrément de formation, est intégrable dans de nombreux projets d’animation, elle valorise l’expression des enfants et aboutit à la présentation de leurs réflexions philosophiques, qui deviendront à leur tour objets d’échanges avec d’autres enfants ou adultes, en premier lieu avec les parents.
Un festival annuel valorise les pratiques de Graines de Philo.
Une discussion à visée philosophique permet, à partir de son expérience, de questionner, de réfléchir et se confronter par l’argumentation et l’échange avec autrui sur des thématiques, des notions et des valeurs ainsi que des sujets d’actualité. Intégrer une telle démarche permet aux enfants et aux jeunes de prendre le recul nécessaire sur lui-même et de les accompagner à « grandir » et à comprendre le monde qui nous entoure.
L’objectif n’est plus de « faire » mais d’apprendre à penser ensemble à ce que l’on a expérimenté, et à se construire des « habiletés de pensée » utilisables tout au long de sa vie.
Cette démarche qui vise à vous outiller par l’obtention d’un agrément de formation, est intégrable dans de nombreux projets d’animation, elle valorise l’expression des enfants et aboutit à la présentation de leurs réflexions philosophiques, qui deviendront à leur tour objets d’échanges avec d’autres enfants ou adultes, en premier lieu avec les parents.
Un festival annuel valorise les pratiques de Graines de Philo.
Une discussion à visée philosophique permet, à partir de son expérience, de questionner, de réfléchir et se confronter par l’argumentation et l’échange avec autrui sur des thématiques, des notions et des valeurs ainsi que des sujets d’actualité. Intégrer une telle démarche permet aux enfants et aux jeunes de prendre le recul nécessaire sur lui-même et de les accompagner à « grandir » et à comprendre le monde qui nous entoure.
L’objectif n’est plus de « faire » mais d’apprendre à penser ensemble à ce que l’on a expérimenté, et à se construire des « habiletés de pensée » utilisables tout au long de sa vie.
Cette démarche qui vise à vous outiller par l’obtention d’un agrément de formation, est intégrable dans de nombreux projets d’animation, elle valorise l’expression des enfants et aboutit à la présentation de leurs réflexions philosophiques, qui deviendront à leur tour objets d’échanges avec d’autres enfants ou adultes, en premier lieu avec les parents.
Un festival annuel valorise les pratiques de Graines de Philo.
Une discussion à visée philosophique permet, à partir de son expérience, de questionner, de réfléchir et se confronter par l’argumentation et l’échange avec autrui sur des thématiques, des notions et des valeurs ainsi que des sujets d’actualité. Intégrer une telle démarche permet aux enfants et aux jeunes de prendre le recul nécessaire sur lui-même et de les accompagner à « grandir » et à comprendre le monde qui nous entoure.
L’objectif n’est plus de « faire » mais d’apprendre à penser ensemble à ce que l’on a expérimenté, et à se construire des « habiletés de pensée » utilisables tout au long de sa vie.
Cette démarche qui vise à vous outiller par l’obtention d’un agrément de formation, est intégrable dans de nombreux projets d’animation, elle valorise l’expression des enfants et aboutit à la présentation de leurs réflexions philosophiques, qui deviendront à leur tour objets d’échanges avec d’autres enfants ou adultes, en premier lieu avec les parents.
Un festival annuel valorise les pratiques de Graines de Philo.
Une discussion à visée philosophique permet, à partir de son expérience, de questionner, de réfléchir et se confronter par l’argumentation et l’échange avec autrui sur des thématiques, des notions et des valeurs ainsi que des sujets d’actualité. Intégrer une telle démarche permet aux enfants et aux jeunes de prendre le recul nécessaire sur lui-même et de les accompagner à « grandir » et à comprendre le monde qui nous entoure.
L’objectif n’est plus de « faire » mais d’apprendre à penser ensemble à ce que l’on a expérimenté, et à se construire des « habiletés de pensée » utilisables tout au long de sa vie.
Cette démarche qui vise à vous outiller par l’obtention d’un agrément de formation, est intégrable dans de nombreux projets d’animation, elle valorise l’expression des enfants et aboutit à la présentation de leurs réflexions philosophiques, qui deviendront à leur tour objets d’échanges avec d’autres enfants ou adultes, en premier lieu avec les parents.
Un festival annuel valorise les pratiques de Graines de Philo.
Il était une fois « Histoire(s) de (mieux) vivre ensemble » est une opération départementale organisée par les Francas du Gard à destination des enfants et des adolescents.
Son point d’orgue est le 21 mars, journée proclamée “Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale” en 1966 par l’Assemblée générale des Nations Unies, et durant la semaine d’éducation contre le racisme et les discriminations.
Il était une fois « Histoire(s) de (mieux) vivre ensemble » est une opération départementale organisée par les Francas du Gard à destination des enfants et des adolescents.
Son point d’orgue est le 21 mars, journée proclamée “Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale” en 1966 par l’Assemblée générale des Nations Unies, et durant la semaine d’éducation contre le racisme et les discriminations.
Cette opération, répond à de nombreux objectifs du socle commun de compétences et de connaissances. Facilement réalisable avec un groupe d’enfants et de jeunes, sur tous les temps scolaires, périscolaires ou de loisirs, et à tous les projets pédagogiques. Le principe y est simple :
Des enfants et des adolescents de 5 à 17 ans (clubs ados, espaces jeunes, centres de loisirs, établissements scolaires…) imaginent, écrivent (à l’aide du référent pour les moins de 6 ans) et illustrent une partie d’histoire sur le thème du « (mieux) vivre ensemble » jusqu’à une date donnée. L’idée est de créer une histoire collaborative inter-structures dans laquelle chaque groupe d’enfants aura écrit une partie.
Les histoires, après avoir été lues et corrigées par un comité de relecture, feront l’objet d’une mise en page et d’une mise en forme dans un livre qui sera distribué à tous les enfants et jeunes qui auront participé à l’opération. Il sera aussi organisé dans le cadre de la journée du vivre ensemble, le mercredi 26 juin 2024 à Fons Outre Gardon, une journée de valorisation à laquelle sera convié l’ensemble des participants.
Recueil de l’édition 2023 – 2024
Dépliant de l’édition 2024 – 2025 :
Pour vous inscrire à l’opération :
Dans le cadre de cette opération, l’association départementale des Francas du Gard a créé une malle pédagogique afin d’accompagner les structures participantes dans leur projet.
Cette malle a été constituée pour répondre à deux objectifs : sensibiliser les enfants et les jeunes aux discriminations et appréhender les techniques d’écriture et de lecture. Afin de diversifier les supports, vous trouverez dans cette espace différents outils afin d’appréhender le dispositif: vidéos, séances d’animation, exposition, littérature, jeux de société.
Pour emprunter des ressources, contacter l’Association départementale par mail à : accueil@francas30.org ou par téléphone au 04.66.02.45.66.
Cette action est co-financée par :
Il était une fois « Histoire(s) de (mieux) vivre ensemble » est une opération départementale organisée par les Francas du Gard à destination des enfants et des adolescents.
Son point d’orgue est le 21 mars, journée proclamée “Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale” en 1966 par l’Assemblée générale des Nations Unies, et durant la semaine d’éducation contre le racisme et les discriminations.
Cette opération, répond à de nombreux objectifs du socle commun de compétences et de connaissances. Facilement réalisable avec un groupe d’enfants et de jeunes, sur tous les temps scolaires, périscolaires ou de loisirs, et à tous les projets pédagogiques. Le principe y est simple :
Des enfants et des adolescents de 5 à 17 ans (clubs ados, espaces jeunes, centres de loisirs, établissements scolaires…) imaginent, écrivent (à l’aide du référent pour les moins de 6 ans) et illustrent une partie d’histoire sur le thème du « (mieux) vivre ensemble » jusqu’à une date donnée. L’idée est de créer une histoire collaborative inter-structures dans laquelle chaque groupe d’enfants aura écrit une partie.
Les histoires, après avoir été lues et corrigées par un comité de relecture, feront l’objet d’une mise en page et d’une mise en forme dans un livre qui sera distribué à tous les enfants et jeunes qui auront participé à l’opération. Il sera aussi organisé dans le cadre de la journée du vivre ensemble, le mercredi 26 juin 2024 à Fons Outre Gardon, une journée de valorisation à laquelle sera convié l’ensemble des participants.
Recueil de l’édition 2023 – 2024
Dépliant de l’édition 2024 – 2025 :
Pour vous inscrire à l’opération :
Dans le cadre de cette opération, l’association départementale des Francas du Gard a créé une malle pédagogique afin d’accompagner les structures participantes dans leur projet.
Cette malle a été constituée pour répondre à deux objectifs : sensibiliser les enfants et les jeunes aux discriminations et appréhender les techniques d’écriture et de lecture. Afin de diversifier les supports, vous trouverez dans cette espace différents outils afin d’appréhender le dispositif: vidéos, séances d’animation, exposition, littérature, jeux de société.
Pour emprunter des ressources, contacter l’Association départementale par mail à : accueil@francas30.org ou par téléphone au 04.66.02.45.66.
Cette action est co-financée par :
Il était une fois « Histoire(s) de (mieux) vivre ensemble » est une opération départementale organisée par les Francas du Gard à destination des enfants et des adolescents.
Son point d’orgue est le 21 mars, journée proclamée “Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale” en 1966 par l’Assemblée générale des Nations Unies, et durant la semaine d’éducation contre le racisme et les discriminations.
Cette opération, répond à de nombreux objectifs du socle commun de compétences et de connaissances. Facilement réalisable avec un groupe d’enfants et de jeunes, sur tous les temps scolaires, périscolaires ou de loisirs, et à tous les projets pédagogiques. Le principe y est simple :
Des enfants et des adolescents de 5 à 17 ans (clubs ados, espaces jeunes, centres de loisirs, établissements scolaires…) imaginent, écrivent (à l’aide du référent pour les moins de 6 ans) et illustrent une partie d’histoire sur le thème du « (mieux) vivre ensemble » jusqu’à une date donnée. L’idée est de créer une histoire collaborative inter-structures dans laquelle chaque groupe d’enfants aura écrit une partie.
Les histoires, après avoir été lues et corrigées par un comité de relecture, feront l’objet d’une mise en page et d’une mise en forme dans un livre qui sera distribué à tous les enfants et jeunes qui auront participé à l’opération. Il sera aussi organisé dans le cadre de la journée du vivre ensemble, le mercredi 26 juin 2024 à Fons Outre Gardon, une journée de valorisation à laquelle sera convié l’ensemble des participants.
Recueil de l’édition 2023 – 2024
Dépliant de l’édition 2024 – 2025 :
Pour vous inscrire à l’opération :
Dans le cadre de cette opération, l’association départementale des Francas du Gard a créé une malle pédagogique afin d’accompagner les structures participantes dans leur projet.
Cette malle a été constituée pour répondre à deux objectifs : sensibiliser les enfants et les jeunes aux discriminations et appréhender les techniques d’écriture et de lecture. Afin de diversifier les supports, vous trouverez dans cette espace différents outils afin d’appréhender le dispositif: vidéos, séances d’animation, exposition, littérature, jeux de société.
Pour emprunter des ressources, contacter l’Association départementale par mail à : accueil@francas30.org ou par téléphone au 04.66.02.45.66.
Cette action est co-financée par :
Il était une fois « Histoire(s) de (mieux) vivre ensemble » est une opération départementale organisée par les Francas du Gard à destination des enfants et des adolescents.
Son point d’orgue est le 21 mars, journée proclamée “Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale” en 1966 par l’Assemblée générale des Nations Unies, et durant la semaine d’éducation contre le racisme et les discriminations.
Cette opération, répond à de nombreux objectifs du socle commun de compétences et de connaissances. Facilement réalisable avec un groupe d’enfants et de jeunes, sur tous les temps scolaires, périscolaires ou de loisirs, et à tous les projets pédagogiques. Le principe y est simple :
Des enfants et des adolescents de 5 à 17 ans (clubs ados, espaces jeunes, centres de loisirs, établissements scolaires…) imaginent, écrivent (à l’aide du référent pour les moins de 6 ans) et illustrent une partie d’histoire sur le thème du « (mieux) vivre ensemble » jusqu’à une date donnée. L’idée est de créer une histoire collaborative inter-structures dans laquelle chaque groupe d’enfants aura écrit une partie.
Les histoires, après avoir été lues et corrigées par un comité de relecture, feront l’objet d’une mise en page et d’une mise en forme dans un livre qui sera distribué à tous les enfants et jeunes qui auront participé à l’opération. Il sera aussi organisé dans le cadre de la journée du vivre ensemble, le mercredi 26 juin 2024 à Fons Outre Gardon, une journée de valorisation à laquelle sera convié l’ensemble des participants.
Recueil de l’édition 2023 – 2024
Dépliant de l’édition 2024 – 2025 :
Pour vous inscrire à l’opération :
Dans le cadre de cette opération, l’association départementale des Francas du Gard a créé une malle pédagogique afin d’accompagner les structures participantes dans leur projet.
Cette malle a été constituée pour répondre à deux objectifs : sensibiliser les enfants et les jeunes aux discriminations et appréhender les techniques d’écriture et de lecture. Afin de diversifier les supports, vous trouverez dans cette espace différents outils afin d’appréhender le dispositif: vidéos, séances d’animation, exposition, littérature, jeux de société.
Pour emprunter des ressources, contacter l’Association départementale par mail à : accueil@francas30.org ou par téléphone au 04.66.02.45.66.
Cette action est co-financée par :
Il était une fois « Histoire(s) de (mieux) vivre ensemble » est une opération départementale organisée par les Francas du Gard à destination des enfants et des adolescents.
Son point d’orgue est le 21 mars, journée proclamée “Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale” en 1966 par l’Assemblée générale des Nations Unies, et durant la semaine d’éducation contre le racisme et les discriminations.
Cette opération, répond à de nombreux objectifs du socle commun de compétences et de connaissances. Facilement réalisable avec un groupe d’enfants et de jeunes, sur tous les temps scolaires, périscolaires ou de loisirs, et à tous les projets pédagogiques. Le principe y est simple :
Des enfants et des adolescents de 5 à 17 ans (clubs ados, espaces jeunes, centres de loisirs, établissements scolaires…) imaginent, écrivent (à l’aide du référent pour les moins de 6 ans) et illustrent une partie d’histoire sur le thème du « (mieux) vivre ensemble » jusqu’à une date donnée. L’idée est de créer une histoire collaborative inter-structures dans laquelle chaque groupe d’enfants aura écrit une partie.
Les histoires, après avoir été lues et corrigées par un comité de relecture, feront l’objet d’une mise en page et d’une mise en forme dans un livre qui sera distribué à tous les enfants et jeunes qui auront participé à l’opération. Il sera aussi organisé dans le cadre de la journée du vivre ensemble, le mercredi 26 juin 2024 à Fons Outre Gardon, une journée de valorisation à laquelle sera convié l’ensemble des participants.
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Cette malle a été constituée pour répondre à deux objectifs : sensibiliser les enfants et les jeunes aux discriminations et appréhender les techniques d’écriture et de lecture. Afin de diversifier les supports, vous trouverez dans cette espace différents outils afin d’appréhender le dispositif: vidéos, séances d’animation, exposition, littérature, jeux de société.
Pour emprunter des ressources, contacter l’Association départementale par mail à : accueil@francas30.org ou par téléphone au 04.66.02.45.66.
Cette action est co-financée par :
Il était une fois « Histoire(s) de (mieux) vivre ensemble » est une opération départementale organisée par les Francas du Gard à destination des enfants et des adolescents.
Son point d’orgue est le 21 mars, journée proclamée “Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale” en 1966 par l’Assemblée générale des Nations Unies, et durant la semaine d’éducation contre le racisme et les discriminations.
Cette opération, répond à de nombreux objectifs du socle commun de compétences et de connaissances. Facilement réalisable avec un groupe d’enfants et de jeunes, sur tous les temps scolaires, périscolaires ou de loisirs, et à tous les projets pédagogiques. Le principe y est simple :
Des enfants et des adolescents de 5 à 17 ans (clubs ados, espaces jeunes, centres de loisirs, établissements scolaires…) imaginent, écrivent (à l’aide du référent pour les moins de 6 ans) et illustrent une partie d’histoire sur le thème du « (mieux) vivre ensemble » jusqu’à une date donnée. L’idée est de créer une histoire collaborative inter-structures dans laquelle chaque groupe d’enfants aura écrit une partie.
Les histoires, après avoir été lues et corrigées par un comité de relecture, feront l’objet d’une mise en page et d’une mise en forme dans un livre qui sera distribué à tous les enfants et jeunes qui auront participé à l’opération. Il sera aussi organisé dans le cadre de la journée du vivre ensemble, le mercredi 26 juin 2024 à Fons Outre Gardon, une journée de valorisation à laquelle sera convié l’ensemble des participants.
Recueil de l’édition 2023 – 2024
Dépliant de l’édition 2024 – 2025 :
Pour vous inscrire à l’opération :
Dans le cadre de cette opération, l’association départementale des Francas du Gard a créé une malle pédagogique afin d’accompagner les structures participantes dans leur projet.
Cette malle a été constituée pour répondre à deux objectifs : sensibiliser les enfants et les jeunes aux discriminations et appréhender les techniques d’écriture et de lecture. Afin de diversifier les supports, vous trouverez dans cette espace différents outils afin d’appréhender le dispositif: vidéos, séances d’animation, exposition, littérature, jeux de société.
Pour emprunter des ressources, contacter l’Association départementale par mail à : accueil@francas30.org ou par téléphone au 04.66.02.45.66.
Cette action est co-financée par :
L’ambition de l’opération Place à nos droits, héritière d’ « Agis pour tes droits » est d’agir dans tous les espaces éducatifs que fréquentent les enfants et les adolescent.es, ainsi que dans leur quartier, leur village, leur ville, leur commune, pour :
• la connaissance et l’appropriation des droits des mineurs dont la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE),
• la prise en compte de ces droits et une effectivité accrue de ceux-ci.
Il est donc question ici à partir des réalités territoriales, d’améliorer, de changer la vie quotidienne des enfants et des adolescent.es.
Cette opération est un parcours éducatif constitué de plusieurs dimensions associées, à vivre successivement ou concomitamment, et à revivre pour aller plus loin, sur certains aspects, parce que les enfants et les adolescent.es ont besoin de préciser, de compléter, d’expérimenter à nouveau… le parcours n’est donc pas linéaire.
• Découvrir ou mieux connaître ce que sont les droits, la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) et le Droit en général, les aspects du Droit qui ont une incidence sur la vie des enfants et des adolescent.es, qui viennent souvent préciser des généralités de la CIDE, sa traduction en droit français.
Cette dimension du parcours peut être alimentée par les outils d’Educadroits : https://educadroit.fr/
• Faire un état des lieux de la mise en œuvre de ces droits, ici et maintenant, afin d’identifier ceux qui ne sont pas effectivement pris en compte au quotidien, dans le centre de loisirs, dans l’école, le collège ou le lycée, dans la Cité. Celui-ci se fera avec les enfants et les adolescent.es et les adultes des espaces éducatifs concernés. Cet état des lieux posé, il est nécessaire d’analyser les constats, qu’ils soient partagés ou pas. Cette analyse doit permettre de cerner des points de dysfonctionnement, parfois d’incompréhension. Cette analyse est conduite par les équipes éducatives et avec les enfants et les adolescent.es.
Ce temps se poursuit par une rencontre avec les adultes concernés par les expressions des enfants et des adolescent.es et la co-construction de propositions. On est ici dans une forme de dialogue structuré, qui va décrire de nécessaires attentions à développer, des pistes de progrès.
• Proposer aux enfants et aux adolescent.es de s’impliquer dans le fonctionnement de l’espace éducatif : ses modalités de fonctionnement, son aménagement, jusqu’à son projet pédagogique.
• Inviter les enfants et les adolescent.es à prendre une initiative, développer un projet, permettant d’améliorer la prise en compte de leurs droits (un ou plusieurs) dans le centre de loisirs, l’école ou le collège ou le lycée, le quartier, la ville ou le village, …
C’est ainsi que naturellement, la Fédération nationale des Francas participe à la consultation annuelle du Défenseur des enfants, notamment lorsque celle-ci porte sur le droit aux loisirs, au sport
et à la culture, le cœur du projet des Francas !
La contribution de la Fédération nationale des Francas comporte d’une part des expressions d’enfants à partir de questions posées par leurs animateurs.
D’autre part, il s’agit d’un extrait de l’analyse produite par une équipe d’universitaires1, qui a travaillé sur 500 expressions d’enfants publiées sur le site enfants acteurs citoyens en 2019 et 2020 et qui portent sur des questions de loisirs, de culture et de sports. Ces 500 publications correspondent à l’expression de plus de 38 000 enfants et adolescent.es
contribution_francas_consultation_defenseur_2023_vdef
L’édition 2024/2025
Cette année l’Association Départementale organise un concours de poèmes traitant du « Droit à vivre dans un environnement sain », répondant à la consultation 2024 du Défenseur des Droits, et qui seront déposés sur le site www.enfantsacteurscitoyens.fr afin d’être traités par la commission d’expertise du Défenseur des Enfants et de formaliser les préconisations du rapport 2024 à destination du Président de la République.
Un dossier pédagogique, utilisable uniquement dans le cadre de la consultation, et donc du concours de poèmes, sera joint à cette note d’intention.
Écrire un poème
En matière d’écriture poétique, plusieurs écoles s’affrontent. À vous de choisir la pratique qui intéresse le plus les enfants !
Certains préfèrent la poésie codifiée, conservant ainsi les formes fixes et structurées (telles que le sonnet ou la ballade), établies il y a des siècles par les grands poètes de l’Histoire.
Pour écrire des poèmes structurés, tout est une question de métrique. Il faut maîtriser, puis veiller à appliquer aux poèmes :
D’autres écrivains choisissent de ne suivre aucune règle et privilégient ainsi les formes libres. La poésie peut alors devenir un jeu sur le langage, un espace d’innovation permettant au poète d’évoquer à sa convenance les sujets qui l’attirent.
Pour cela, la prose est la forme par excellence à utiliser. Elle ne comporte ni vers, ni rimes. Elle recherche un effet poétique, sans viser à raconter une histoire ou à transmettre une information. C’est la forme idéale pour laisser libre cours à son imagination !
Pour vous entraîner, pensez aux calligrammes (des poèmes en forme de dessin en rapport avec le sujet du texte. Apollinaire est connu pour avoir utilisé à de nombreuses reprises cette forme poétique) ou aux acrostiches (des poèmes dont les initiales de chaque vers composent un mot précis). Ces deux formes poétiques sont idéales pour développer au mieux la créativité.
De façon générale, la meilleure règle à appliquer est de laisser parler les émotions et les envies des enfants ! Ce sont elles qui aideront à déterminer au mieux quelle harmonie, quel thème ou quel champ lexical employer dans les poèmes.
Les poèmes devront être mis en forme sous format « Affiche » et format Word, et envoyés par mail à l’adresse animation@francas30.org .
Dans le cadre de la journée départementale des droits de l’enfant, l’association départementale a lancé la réalisation d’un arbre à Palabres pour sensibiliser les enfants et les jeunes sur la découverte de la CIDE.
-1-2_599x454.jpg)
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Télécharger la fiche technique du projet : Place à nos droits – Agis pour un environement sain – Edition 2024
Le Forum des Droits de l’Enfant, une journée de valorisation du projet
Depuis deux ans, l’association départementale participe à la semaine départementale des droits de l’enfant qui regroupe partenaires institutionnels et acteurs du monde de l’enfance qui se mobilisent sur la promotion et la défense de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant.
Les productions réalisées dans le cadre de l’opération « Place à nos droits » y sont valorisées, une journée à destination des enfants et des jeunes est également proposée sous forme d’ateliers, d’espaces éducatifs, de jeux avec l’aide de nombreuses associations partenaires.
Cela se déroulera la semaine du 20 au 28 Novembre 2024.
Cette action est co-financée:
Cette opération est un parcours éducatif constitué de plusieurs dimensions associées, à vivre successivement ou concomitamment, et à revivre pour aller plus loin, sur certains aspects, parce que les enfants et les adolescent.es ont besoin de préciser, de compléter, d’expérimenter à nouveau… le parcours n’est donc pas linéaire.
• Découvrir ou mieux connaître ce que sont les droits, la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) et le Droit en général, les aspects du Droit qui ont une incidence sur la vie des enfants et des adolescent.es, qui viennent souvent préciser des généralités de la CIDE, sa traduction en droit français.
Cette dimension du parcours peut être alimentée par les outils d’Educadroits : https://educadroit.fr/
• Faire un état des lieux de la mise en œuvre de ces droits, ici et maintenant, afin d’identifier ceux qui ne sont pas effectivement pris en compte au quotidien, dans le centre de loisirs, dans l’école, le collège ou le lycée, dans la Cité. Celui-ci se fera avec les enfants et les adolescent.es et les adultes des espaces éducatifs concernés. Cet état des lieux posé, il est nécessaire d’analyser les constats, qu’ils soient partagés ou pas. Cette analyse doit permettre de cerner des points de dysfonctionnement, parfois d’incompréhension. Cette analyse est conduite par les équipes éducatives et avec les enfants et les adolescent.es.
Ce temps se poursuit par une rencontre avec les adultes concernés par les expressions des enfants et des adolescent.es et la co-construction de propositions. On est ici dans une forme de dialogue structuré, qui va décrire de nécessaires attentions à développer, des pistes de progrès.
• Proposer aux enfants et aux adolescent.es de s’impliquer dans le fonctionnement de l’espace éducatif : ses modalités de fonctionnement, son aménagement, jusqu’à son projet pédagogique.
• Inviter les enfants et les adolescent.es à prendre une initiative, développer un projet, permettant d’améliorer la prise en compte de leurs droits (un ou plusieurs) dans le centre de loisirs, l’école ou le collège ou le lycée, le quartier, la ville ou le village, …
C’est ainsi que naturellement, la Fédération nationale des Francas participe à la consultation annuelle du Défenseur des enfants, notamment lorsque celle-ci porte sur le droit aux loisirs, au sport
et à la culture, le cœur du projet des Francas !
La contribution de la Fédération nationale des Francas comporte d’une part des expressions d’enfants à partir de questions posées par leurs animateurs.
D’autre part, il s’agit d’un extrait de l’analyse produite par une équipe d’universitaires1, qui a travaillé sur 500 expressions d’enfants publiées sur le site enfants acteurs citoyens en 2019 et 2020 et qui portent sur des questions de loisirs, de culture et de sports. Ces 500 publications correspondent à l’expression de plus de 38 000 enfants et adolescent.es
contribution_francas_consultation_defenseur_2023_vdef
L’édition 2024/2025
Cette année l’Association Départementale organise un concours de poèmes traitant du « Droit à vivre dans un environnement sain », répondant à la consultation 2024 du Défenseur des Droits, et qui seront déposés sur le site www.enfantsacteurscitoyens.fr afin d’être traités par la commission d’expertise du Défenseur des Enfants et de formaliser les préconisations du rapport 2024 à destination du Président de la République.
Un dossier pédagogique, utilisable uniquement dans le cadre de la consultation, et donc du concours de poèmes, sera joint à cette note d’intention.
Écrire un poème
En matière d’écriture poétique, plusieurs écoles s’affrontent. À vous de choisir la pratique qui intéresse le plus les enfants !
Certains préfèrent la poésie codifiée, conservant ainsi les formes fixes et structurées (telles que le sonnet ou la ballade), établies il y a des siècles par les grands poètes de l’Histoire.
Pour écrire des poèmes structurés, tout est une question de métrique. Il faut maîtriser, puis veiller à appliquer aux poèmes :
D’autres écrivains choisissent de ne suivre aucune règle et privilégient ainsi les formes libres. La poésie peut alors devenir un jeu sur le langage, un espace d’innovation permettant au poète d’évoquer à sa convenance les sujets qui l’attirent.
Pour cela, la prose est la forme par excellence à utiliser. Elle ne comporte ni vers, ni rimes. Elle recherche un effet poétique, sans viser à raconter une histoire ou à transmettre une information. C’est la forme idéale pour laisser libre cours à son imagination !
Pour vous entraîner, pensez aux calligrammes (des poèmes en forme de dessin en rapport avec le sujet du texte. Apollinaire est connu pour avoir utilisé à de nombreuses reprises cette forme poétique) ou aux acrostiches (des poèmes dont les initiales de chaque vers composent un mot précis). Ces deux formes poétiques sont idéales pour développer au mieux la créativité.
De façon générale, la meilleure règle à appliquer est de laisser parler les émotions et les envies des enfants ! Ce sont elles qui aideront à déterminer au mieux quelle harmonie, quel thème ou quel champ lexical employer dans les poèmes.
Les poèmes devront être mis en forme sous format « Affiche » et format Word, et envoyés par mail à l’adresse animation@francas30.org .
Dans le cadre de la journée départementale des droits de l’enfant, l’association départementale a lancé la réalisation d’un arbre à Palabres pour sensibiliser les enfants et les jeunes sur la découverte de la CIDE.
Télécharger la fiche technique du projet : Place à nos droits – Agis pour un environement sain – Edition 2024
Le Forum des Droits de l’Enfant, une journée de valorisation du projet
Depuis deux ans, l’association départementale participe à la semaine départementale des droits de l’enfant qui regroupe partenaires institutionnels et acteurs du monde de l’enfance qui se mobilisent sur la promotion et la défense de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant.
Les productions réalisées dans le cadre de l’opération « Place à nos droits » y sont valorisées, une journée à destination des enfants et des jeunes est également proposée sous forme d’ateliers, d’espaces éducatifs, de jeux avec l’aide de nombreuses associations partenaires.
Cela se déroulera la semaine du 20 au 28 Novembre 2024.
Cette action est co-financée:
Cette opération est un parcours éducatif constitué de plusieurs dimensions associées, à vivre successivement ou concomitamment, et à revivre pour aller plus loin, sur certains aspects, parce que les enfants et les adolescent.es ont besoin de préciser, de compléter, d’expérimenter à nouveau… le parcours n’est donc pas linéaire.
• Découvrir ou mieux connaître ce que sont les droits, la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) et le Droit en général, les aspects du Droit qui ont une incidence sur la vie des enfants et des adolescent.es, qui viennent souvent préciser des généralités de la CIDE, sa traduction en droit français.
Cette dimension du parcours peut être alimentée par les outils d’Educadroits : https://educadroit.fr/
• Faire un état des lieux de la mise en œuvre de ces droits, ici et maintenant, afin d’identifier ceux qui ne sont pas effectivement pris en compte au quotidien, dans le centre de loisirs, dans l’école, le collège ou le lycée, dans la Cité. Celui-ci se fera avec les enfants et les adolescent.es et les adultes des espaces éducatifs concernés. Cet état des lieux posé, il est nécessaire d’analyser les constats, qu’ils soient partagés ou pas. Cette analyse doit permettre de cerner des points de dysfonctionnement, parfois d’incompréhension. Cette analyse est conduite par les équipes éducatives et avec les enfants et les adolescent.es.
Ce temps se poursuit par une rencontre avec les adultes concernés par les expressions des enfants et des adolescent.es et la co-construction de propositions. On est ici dans une forme de dialogue structuré, qui va décrire de nécessaires attentions à développer, des pistes de progrès.
• Proposer aux enfants et aux adolescent.es de s’impliquer dans le fonctionnement de l’espace éducatif : ses modalités de fonctionnement, son aménagement, jusqu’à son projet pédagogique.
• Inviter les enfants et les adolescent.es à prendre une initiative, développer un projet, permettant d’améliorer la prise en compte de leurs droits (un ou plusieurs) dans le centre de loisirs, l’école ou le collège ou le lycée, le quartier, la ville ou le village, …
C’est ainsi que naturellement, la Fédération nationale des Francas participe à la consultation annuelle du Défenseur des enfants, notamment lorsque celle-ci porte sur le droit aux loisirs, au sport
et à la culture, le cœur du projet des Francas !
La contribution de la Fédération nationale des Francas comporte d’une part des expressions d’enfants à partir de questions posées par leurs animateurs.
D’autre part, il s’agit d’un extrait de l’analyse produite par une équipe d’universitaires1, qui a travaillé sur 500 expressions d’enfants publiées sur le site enfants acteurs citoyens en 2019 et 2020 et qui portent sur des questions de loisirs, de culture et de sports. Ces 500 publications correspondent à l’expression de plus de 38 000 enfants et adolescent.es
contribution_francas_consultation_defenseur_2023_vdef
L’édition 2024/2025
Cette année l’Association Départementale organise un concours de poèmes traitant du « Droit à vivre dans un environnement sain », répondant à la consultation 2024 du Défenseur des Droits, et qui seront déposés sur le site www.enfantsacteurscitoyens.fr afin d’être traités par la commission d’expertise du Défenseur des Enfants et de formaliser les préconisations du rapport 2024 à destination du Président de la République.
Un dossier pédagogique, utilisable uniquement dans le cadre de la consultation, et donc du concours de poèmes, sera joint à cette note d’intention.
Écrire un poème
En matière d’écriture poétique, plusieurs écoles s’affrontent. À vous de choisir la pratique qui intéresse le plus les enfants !
Certains préfèrent la poésie codifiée, conservant ainsi les formes fixes et structurées (telles que le sonnet ou la ballade), établies il y a des siècles par les grands poètes de l’Histoire.
Pour écrire des poèmes structurés, tout est une question de métrique. Il faut maîtriser, puis veiller à appliquer aux poèmes :
D’autres écrivains choisissent de ne suivre aucune règle et privilégient ainsi les formes libres. La poésie peut alors devenir un jeu sur le langage, un espace d’innovation permettant au poète d’évoquer à sa convenance les sujets qui l’attirent.
Pour cela, la prose est la forme par excellence à utiliser. Elle ne comporte ni vers, ni rimes. Elle recherche un effet poétique, sans viser à raconter une histoire ou à transmettre une information. C’est la forme idéale pour laisser libre cours à son imagination !
Pour vous entraîner, pensez aux calligrammes (des poèmes en forme de dessin en rapport avec le sujet du texte. Apollinaire est connu pour avoir utilisé à de nombreuses reprises cette forme poétique) ou aux acrostiches (des poèmes dont les initiales de chaque vers composent un mot précis). Ces deux formes poétiques sont idéales pour développer au mieux la créativité.
De façon générale, la meilleure règle à appliquer est de laisser parler les émotions et les envies des enfants ! Ce sont elles qui aideront à déterminer au mieux quelle harmonie, quel thème ou quel champ lexical employer dans les poèmes.
Les poèmes devront être mis en forme sous format « Affiche » et format Word, et envoyés par mail à l’adresse animation@francas30.org .
Dans le cadre de la journée départementale des droits de l’enfant, l’association départementale a lancé la réalisation d’un arbre à Palabres pour sensibiliser les enfants et les jeunes sur la découverte de la CIDE.
Télécharger la fiche technique du projet : Place à nos droits – Agis pour un environement sain – Edition 2024
Le Forum des Droits de l’Enfant, une journée de valorisation du projet
Depuis deux ans, l’association départementale participe à la semaine départementale des droits de l’enfant qui regroupe partenaires institutionnels et acteurs du monde de l’enfance qui se mobilisent sur la promotion et la défense de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant.
Les productions réalisées dans le cadre de l’opération « Place à nos droits » y sont valorisées, une journée à destination des enfants et des jeunes est également proposée sous forme d’ateliers, d’espaces éducatifs, de jeux avec l’aide de nombreuses associations partenaires.
Cela se déroulera la semaine du 20 au 28 Novembre 2024.
Cette action est co-financée:
Cette opération est un parcours éducatif constitué de plusieurs dimensions associées, à vivre successivement ou concomitamment, et à revivre pour aller plus loin, sur certains aspects, parce que les enfants et les adolescent.es ont besoin de préciser, de compléter, d’expérimenter à nouveau… le parcours n’est donc pas linéaire.
• Découvrir ou mieux connaître ce que sont les droits, la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) et le Droit en général, les aspects du Droit qui ont une incidence sur la vie des enfants et des adolescent.es, qui viennent souvent préciser des généralités de la CIDE, sa traduction en droit français.
Cette dimension du parcours peut être alimentée par les outils d’Educadroits : https://educadroit.fr/
• Faire un état des lieux de la mise en œuvre de ces droits, ici et maintenant, afin d’identifier ceux qui ne sont pas effectivement pris en compte au quotidien, dans le centre de loisirs, dans l’école, le collège ou le lycée, dans la Cité. Celui-ci se fera avec les enfants et les adolescent.es et les adultes des espaces éducatifs concernés. Cet état des lieux posé, il est nécessaire d’analyser les constats, qu’ils soient partagés ou pas. Cette analyse doit permettre de cerner des points de dysfonctionnement, parfois d’incompréhension. Cette analyse est conduite par les équipes éducatives et avec les enfants et les adolescent.es.
Ce temps se poursuit par une rencontre avec les adultes concernés par les expressions des enfants et des adolescent.es et la co-construction de propositions. On est ici dans une forme de dialogue structuré, qui va décrire de nécessaires attentions à développer, des pistes de progrès.
• Proposer aux enfants et aux adolescent.es de s’impliquer dans le fonctionnement de l’espace éducatif : ses modalités de fonctionnement, son aménagement, jusqu’à son projet pédagogique.
• Inviter les enfants et les adolescent.es à prendre une initiative, développer un projet, permettant d’améliorer la prise en compte de leurs droits (un ou plusieurs) dans le centre de loisirs, l’école ou le collège ou le lycée, le quartier, la ville ou le village, …
C’est ainsi que naturellement, la Fédération nationale des Francas participe à la consultation annuelle du Défenseur des enfants, notamment lorsque celle-ci porte sur le droit aux loisirs, au sport
et à la culture, le cœur du projet des Francas !
La contribution de la Fédération nationale des Francas comporte d’une part des expressions d’enfants à partir de questions posées par leurs animateurs.
D’autre part, il s’agit d’un extrait de l’analyse produite par une équipe d’universitaires1, qui a travaillé sur 500 expressions d’enfants publiées sur le site enfants acteurs citoyens en 2019 et 2020 et qui portent sur des questions de loisirs, de culture et de sports. Ces 500 publications correspondent à l’expression de plus de 38 000 enfants et adolescent.es
contribution_francas_consultation_defenseur_2023_vdef
L’édition 2024/2025
Cette année l’Association Départementale organise un concours de poèmes traitant du « Droit à vivre dans un environnement sain », répondant à la consultation 2024 du Défenseur des Droits, et qui seront déposés sur le site www.enfantsacteurscitoyens.fr afin d’être traités par la commission d’expertise du Défenseur des Enfants et de formaliser les préconisations du rapport 2024 à destination du Président de la République.
Un dossier pédagogique, utilisable uniquement dans le cadre de la consultation, et donc du concours de poèmes, sera joint à cette note d’intention.
Écrire un poème
En matière d’écriture poétique, plusieurs écoles s’affrontent. À vous de choisir la pratique qui intéresse le plus les enfants !
Certains préfèrent la poésie codifiée, conservant ainsi les formes fixes et structurées (telles que le sonnet ou la ballade), établies il y a des siècles par les grands poètes de l’Histoire.
Pour écrire des poèmes structurés, tout est une question de métrique. Il faut maîtriser, puis veiller à appliquer aux poèmes :
D’autres écrivains choisissent de ne suivre aucune règle et privilégient ainsi les formes libres. La poésie peut alors devenir un jeu sur le langage, un espace d’innovation permettant au poète d’évoquer à sa convenance les sujets qui l’attirent.
Pour cela, la prose est la forme par excellence à utiliser. Elle ne comporte ni vers, ni rimes. Elle recherche un effet poétique, sans viser à raconter une histoire ou à transmettre une information. C’est la forme idéale pour laisser libre cours à son imagination !
Pour vous entraîner, pensez aux calligrammes (des poèmes en forme de dessin en rapport avec le sujet du texte. Apollinaire est connu pour avoir utilisé à de nombreuses reprises cette forme poétique) ou aux acrostiches (des poèmes dont les initiales de chaque vers composent un mot précis). Ces deux formes poétiques sont idéales pour développer au mieux la créativité.
De façon générale, la meilleure règle à appliquer est de laisser parler les émotions et les envies des enfants ! Ce sont elles qui aideront à déterminer au mieux quelle harmonie, quel thème ou quel champ lexical employer dans les poèmes.
Les poèmes devront être mis en forme sous format « Affiche » et format Word, et envoyés par mail à l’adresse animation@francas30.org .
Dans le cadre de la journée départementale des droits de l’enfant, l’association départementale a lancé la réalisation d’un arbre à Palabres pour sensibiliser les enfants et les jeunes sur la découverte de la CIDE.
Télécharger la fiche technique du projet : Place à nos droits – Agis pour un environement sain – Edition 2024
Le Forum des Droits de l’Enfant, une journée de valorisation du projet
Depuis deux ans, l’association départementale participe à la semaine départementale des droits de l’enfant qui regroupe partenaires institutionnels et acteurs du monde de l’enfance qui se mobilisent sur la promotion et la défense de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant.
Les productions réalisées dans le cadre de l’opération « Place à nos droits » y sont valorisées, une journée à destination des enfants et des jeunes est également proposée sous forme d’ateliers, d’espaces éducatifs, de jeux avec l’aide de nombreuses associations partenaires.
Cela se déroulera la semaine du 20 au 28 Novembre 2024.
Cette action est co-financée:
Cette opération est un parcours éducatif constitué de plusieurs dimensions associées, à vivre successivement ou concomitamment, et à revivre pour aller plus loin, sur certains aspects, parce que les enfants et les adolescent.es ont besoin de préciser, de compléter, d’expérimenter à nouveau… le parcours n’est donc pas linéaire.
• Découvrir ou mieux connaître ce que sont les droits, la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) et le Droit en général, les aspects du Droit qui ont une incidence sur la vie des enfants et des adolescent.es, qui viennent souvent préciser des généralités de la CIDE, sa traduction en droit français.
Cette dimension du parcours peut être alimentée par les outils d’Educadroits : https://educadroit.fr/
• Faire un état des lieux de la mise en œuvre de ces droits, ici et maintenant, afin d’identifier ceux qui ne sont pas effectivement pris en compte au quotidien, dans le centre de loisirs, dans l’école, le collège ou le lycée, dans la Cité. Celui-ci se fera avec les enfants et les adolescent.es et les adultes des espaces éducatifs concernés. Cet état des lieux posé, il est nécessaire d’analyser les constats, qu’ils soient partagés ou pas. Cette analyse doit permettre de cerner des points de dysfonctionnement, parfois d’incompréhension. Cette analyse est conduite par les équipes éducatives et avec les enfants et les adolescent.es.
Ce temps se poursuit par une rencontre avec les adultes concernés par les expressions des enfants et des adolescent.es et la co-construction de propositions. On est ici dans une forme de dialogue structuré, qui va décrire de nécessaires attentions à développer, des pistes de progrès.
• Proposer aux enfants et aux adolescent.es de s’impliquer dans le fonctionnement de l’espace éducatif : ses modalités de fonctionnement, son aménagement, jusqu’à son projet pédagogique.
• Inviter les enfants et les adolescent.es à prendre une initiative, développer un projet, permettant d’améliorer la prise en compte de leurs droits (un ou plusieurs) dans le centre de loisirs, l’école ou le collège ou le lycée, le quartier, la ville ou le village, …
C’est ainsi que naturellement, la Fédération nationale des Francas participe à la consultation annuelle du Défenseur des enfants, notamment lorsque celle-ci porte sur le droit aux loisirs, au sport
et à la culture, le cœur du projet des Francas !
La contribution de la Fédération nationale des Francas comporte d’une part des expressions d’enfants à partir de questions posées par leurs animateurs.
D’autre part, il s’agit d’un extrait de l’analyse produite par une équipe d’universitaires1, qui a travaillé sur 500 expressions d’enfants publiées sur le site enfants acteurs citoyens en 2019 et 2020 et qui portent sur des questions de loisirs, de culture et de sports. Ces 500 publications correspondent à l’expression de plus de 38 000 enfants et adolescent.es
contribution_francas_consultation_defenseur_2023_vdef
L’édition 2024/2025
Cette année l’Association Départementale organise un concours de poèmes traitant du « Droit à vivre dans un environnement sain », répondant à la consultation 2024 du Défenseur des Droits, et qui seront déposés sur le site www.enfantsacteurscitoyens.fr afin d’être traités par la commission d’expertise du Défenseur des Enfants et de formaliser les préconisations du rapport 2024 à destination du Président de la République.
Un dossier pédagogique, utilisable uniquement dans le cadre de la consultation, et donc du concours de poèmes, sera joint à cette note d’intention.
Écrire un poème
En matière d’écriture poétique, plusieurs écoles s’affrontent. À vous de choisir la pratique qui intéresse le plus les enfants !
Certains préfèrent la poésie codifiée, conservant ainsi les formes fixes et structurées (telles que le sonnet ou la ballade), établies il y a des siècles par les grands poètes de l’Histoire.
Pour écrire des poèmes structurés, tout est une question de métrique. Il faut maîtriser, puis veiller à appliquer aux poèmes :
D’autres écrivains choisissent de ne suivre aucune règle et privilégient ainsi les formes libres. La poésie peut alors devenir un jeu sur le langage, un espace d’innovation permettant au poète d’évoquer à sa convenance les sujets qui l’attirent.
Pour cela, la prose est la forme par excellence à utiliser. Elle ne comporte ni vers, ni rimes. Elle recherche un effet poétique, sans viser à raconter une histoire ou à transmettre une information. C’est la forme idéale pour laisser libre cours à son imagination !
Pour vous entraîner, pensez aux calligrammes (des poèmes en forme de dessin en rapport avec le sujet du texte. Apollinaire est connu pour avoir utilisé à de nombreuses reprises cette forme poétique) ou aux acrostiches (des poèmes dont les initiales de chaque vers composent un mot précis). Ces deux formes poétiques sont idéales pour développer au mieux la créativité.
De façon générale, la meilleure règle à appliquer est de laisser parler les émotions et les envies des enfants ! Ce sont elles qui aideront à déterminer au mieux quelle harmonie, quel thème ou quel champ lexical employer dans les poèmes.
Les poèmes devront être mis en forme sous format « Affiche » et format Word, et envoyés par mail à l’adresse animation@francas30.org .
Dans le cadre de la journée départementale des droits de l’enfant, l’association départementale a lancé la réalisation d’un arbre à Palabres pour sensibiliser les enfants et les jeunes sur la découverte de la CIDE.
Télécharger la fiche technique du projet : Place à nos droits – Agis pour un environement sain – Edition 2024
Le Forum des Droits de l’Enfant, une journée de valorisation du projet
Depuis deux ans, l’association départementale participe à la semaine départementale des droits de l’enfant qui regroupe partenaires institutionnels et acteurs du monde de l’enfance qui se mobilisent sur la promotion et la défense de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant.
Les productions réalisées dans le cadre de l’opération « Place à nos droits » y sont valorisées, une journée à destination des enfants et des jeunes est également proposée sous forme d’ateliers, d’espaces éducatifs, de jeux avec l’aide de nombreuses associations partenaires.
Cela se déroulera la semaine du 20 au 28 Novembre 2024.
Cette action est co-financée:
Cette opération est un parcours éducatif constitué de plusieurs dimensions associées, à vivre successivement ou concomitamment, et à revivre pour aller plus loin, sur certains aspects, parce que les enfants et les adolescent.es ont besoin de préciser, de compléter, d’expérimenter à nouveau… le parcours n’est donc pas linéaire.
• Découvrir ou mieux connaître ce que sont les droits, la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) et le Droit en général, les aspects du Droit qui ont une incidence sur la vie des enfants et des adolescent.es, qui viennent souvent préciser des généralités de la CIDE, sa traduction en droit français.
Cette dimension du parcours peut être alimentée par les outils d’Educadroits : https://educadroit.fr/
• Faire un état des lieux de la mise en œuvre de ces droits, ici et maintenant, afin d’identifier ceux qui ne sont pas effectivement pris en compte au quotidien, dans le centre de loisirs, dans l’école, le collège ou le lycée, dans la Cité. Celui-ci se fera avec les enfants et les adolescent.es et les adultes des espaces éducatifs concernés. Cet état des lieux posé, il est nécessaire d’analyser les constats, qu’ils soient partagés ou pas. Cette analyse doit permettre de cerner des points de dysfonctionnement, parfois d’incompréhension. Cette analyse est conduite par les équipes éducatives et avec les enfants et les adolescent.es.
Ce temps se poursuit par une rencontre avec les adultes concernés par les expressions des enfants et des adolescent.es et la co-construction de propositions. On est ici dans une forme de dialogue structuré, qui va décrire de nécessaires attentions à développer, des pistes de progrès.
• Proposer aux enfants et aux adolescent.es de s’impliquer dans le fonctionnement de l’espace éducatif : ses modalités de fonctionnement, son aménagement, jusqu’à son projet pédagogique.
• Inviter les enfants et les adolescent.es à prendre une initiative, développer un projet, permettant d’améliorer la prise en compte de leurs droits (un ou plusieurs) dans le centre de loisirs, l’école ou le collège ou le lycée, le quartier, la ville ou le village, …
C’est ainsi que naturellement, la Fédération nationale des Francas participe à la consultation annuelle du Défenseur des enfants, notamment lorsque celle-ci porte sur le droit aux loisirs, au sport
et à la culture, le cœur du projet des Francas !
La contribution de la Fédération nationale des Francas comporte d’une part des expressions d’enfants à partir de questions posées par leurs animateurs.
D’autre part, il s’agit d’un extrait de l’analyse produite par une équipe d’universitaires1, qui a travaillé sur 500 expressions d’enfants publiées sur le site enfants acteurs citoyens en 2019 et 2020 et qui portent sur des questions de loisirs, de culture et de sports. Ces 500 publications correspondent à l’expression de plus de 38 000 enfants et adolescent.es
contribution_francas_consultation_defenseur_2023_vdef
L’édition 2024/2025
Cette année l’Association Départementale organise un concours de poèmes traitant du « Droit à vivre dans un environnement sain », répondant à la consultation 2024 du Défenseur des Droits, et qui seront déposés sur le site www.enfantsacteurscitoyens.fr afin d’être traités par la commission d’expertise du Défenseur des Enfants et de formaliser les préconisations du rapport 2024 à destination du Président de la République.
Un dossier pédagogique, utilisable uniquement dans le cadre de la consultation, et donc du concours de poèmes, sera joint à cette note d’intention.
Écrire un poème
En matière d’écriture poétique, plusieurs écoles s’affrontent. À vous de choisir la pratique qui intéresse le plus les enfants !
Certains préfèrent la poésie codifiée, conservant ainsi les formes fixes et structurées (telles que le sonnet ou la ballade), établies il y a des siècles par les grands poètes de l’Histoire.
Pour écrire des poèmes structurés, tout est une question de métrique. Il faut maîtriser, puis veiller à appliquer aux poèmes :
D’autres écrivains choisissent de ne suivre aucune règle et privilégient ainsi les formes libres. La poésie peut alors devenir un jeu sur le langage, un espace d’innovation permettant au poète d’évoquer à sa convenance les sujets qui l’attirent.
Pour cela, la prose est la forme par excellence à utiliser. Elle ne comporte ni vers, ni rimes. Elle recherche un effet poétique, sans viser à raconter une histoire ou à transmettre une information. C’est la forme idéale pour laisser libre cours à son imagination !
Pour vous entraîner, pensez aux calligrammes (des poèmes en forme de dessin en rapport avec le sujet du texte. Apollinaire est connu pour avoir utilisé à de nombreuses reprises cette forme poétique) ou aux acrostiches (des poèmes dont les initiales de chaque vers composent un mot précis). Ces deux formes poétiques sont idéales pour développer au mieux la créativité.
De façon générale, la meilleure règle à appliquer est de laisser parler les émotions et les envies des enfants ! Ce sont elles qui aideront à déterminer au mieux quelle harmonie, quel thème ou quel champ lexical employer dans les poèmes.
Les poèmes devront être mis en forme sous format « Affiche » et format Word, et envoyés par mail à l’adresse animation@francas30.org .
Dans le cadre de la journée départementale des droits de l’enfant, l’association départementale a lancé la réalisation d’un arbre à Palabres pour sensibiliser les enfants et les jeunes sur la découverte de la CIDE.
Télécharger la fiche technique du projet : Place à nos droits – Agis pour un environement sain – Edition 2024
Le Forum des Droits de l’Enfant, une journée de valorisation du projet
Depuis deux ans, l’association départementale participe à la semaine départementale des droits de l’enfant qui regroupe partenaires institutionnels et acteurs du monde de l’enfance qui se mobilisent sur la promotion et la défense de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant.
Les productions réalisées dans le cadre de l’opération « Place à nos droits » y sont valorisées, une journée à destination des enfants et des jeunes est également proposée sous forme d’ateliers, d’espaces éducatifs, de jeux avec l’aide de nombreuses associations partenaires.
Cela se déroulera la semaine du 20 au 28 Novembre 2024.
Cette action est co-financée:
Cette opération est un parcours éducatif constitué de plusieurs dimensions associées, à vivre successivement ou concomitamment, et à revivre pour aller plus loin, sur certains aspects, parce que les enfants et les adolescent.es ont besoin de préciser, de compléter, d’expérimenter à nouveau… le parcours n’est donc pas linéaire.
• Découvrir ou mieux connaître ce que sont les droits, la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) et le Droit en général, les aspects du Droit qui ont une incidence sur la vie des enfants et des adolescent.es, qui viennent souvent préciser des généralités de la CIDE, sa traduction en droit français.
Cette dimension du parcours peut être alimentée par les outils d’Educadroits : https://educadroit.fr/
• Faire un état des lieux de la mise en œuvre de ces droits, ici et maintenant, afin d’identifier ceux qui ne sont pas effectivement pris en compte au quotidien, dans le centre de loisirs, dans l’école, le collège ou le lycée, dans la Cité. Celui-ci se fera avec les enfants et les adolescent.es et les adultes des espaces éducatifs concernés. Cet état des lieux posé, il est nécessaire d’analyser les constats, qu’ils soient partagés ou pas. Cette analyse doit permettre de cerner des points de dysfonctionnement, parfois d’incompréhension. Cette analyse est conduite par les équipes éducatives et avec les enfants et les adolescent.es.
Ce temps se poursuit par une rencontre avec les adultes concernés par les expressions des enfants et des adolescent.es et la co-construction de propositions. On est ici dans une forme de dialogue structuré, qui va décrire de nécessaires attentions à développer, des pistes de progrès.
• Proposer aux enfants et aux adolescent.es de s’impliquer dans le fonctionnement de l’espace éducatif : ses modalités de fonctionnement, son aménagement, jusqu’à son projet pédagogique.
• Inviter les enfants et les adolescent.es à prendre une initiative, développer un projet, permettant d’améliorer la prise en compte de leurs droits (un ou plusieurs) dans le centre de loisirs, l’école ou le collège ou le lycée, le quartier, la ville ou le village, …
C’est ainsi que naturellement, la Fédération nationale des Francas participe à la consultation annuelle du Défenseur des enfants, notamment lorsque celle-ci porte sur le droit aux loisirs, au sport
et à la culture, le cœur du projet des Francas !
La contribution de la Fédération nationale des Francas comporte d’une part des expressions d’enfants à partir de questions posées par leurs animateurs.
D’autre part, il s’agit d’un extrait de l’analyse produite par une équipe d’universitaires1, qui a travaillé sur 500 expressions d’enfants publiées sur le site enfants acteurs citoyens en 2019 et 2020 et qui portent sur des questions de loisirs, de culture et de sports. Ces 500 publications correspondent à l’expression de plus de 38 000 enfants et adolescent.es
contribution_francas_consultation_defenseur_2023_vdef
L’édition 2024/2025
Cette année l’Association Départementale organise un concours de poèmes traitant du « Droit à vivre dans un environnement sain », répondant à la consultation 2024 du Défenseur des Droits, et qui seront déposés sur le site www.enfantsacteurscitoyens.fr afin d’être traités par la commission d’expertise du Défenseur des Enfants et de formaliser les préconisations du rapport 2024 à destination du Président de la République.
Un dossier pédagogique, utilisable uniquement dans le cadre de la consultation, et donc du concours de poèmes, sera joint à cette note d’intention.
Écrire un poème
En matière d’écriture poétique, plusieurs écoles s’affrontent. À vous de choisir la pratique qui intéresse le plus les enfants !
Certains préfèrent la poésie codifiée, conservant ainsi les formes fixes et structurées (telles que le sonnet ou la ballade), établies il y a des siècles par les grands poètes de l’Histoire.
Pour écrire des poèmes structurés, tout est une question de métrique. Il faut maîtriser, puis veiller à appliquer aux poèmes :
D’autres écrivains choisissent de ne suivre aucune règle et privilégient ainsi les formes libres. La poésie peut alors devenir un jeu sur le langage, un espace d’innovation permettant au poète d’évoquer à sa convenance les sujets qui l’attirent.
Pour cela, la prose est la forme par excellence à utiliser. Elle ne comporte ni vers, ni rimes. Elle recherche un effet poétique, sans viser à raconter une histoire ou à transmettre une information. C’est la forme idéale pour laisser libre cours à son imagination !
Pour vous entraîner, pensez aux calligrammes (des poèmes en forme de dessin en rapport avec le sujet du texte. Apollinaire est connu pour avoir utilisé à de nombreuses reprises cette forme poétique) ou aux acrostiches (des poèmes dont les initiales de chaque vers composent un mot précis). Ces deux formes poétiques sont idéales pour développer au mieux la créativité.
De façon générale, la meilleure règle à appliquer est de laisser parler les émotions et les envies des enfants ! Ce sont elles qui aideront à déterminer au mieux quelle harmonie, quel thème ou quel champ lexical employer dans les poèmes.
Les poèmes devront être mis en forme sous format « Affiche » et format Word, et envoyés par mail à l’adresse animation@francas30.org .
Dans le cadre de la journée départementale des droits de l’enfant, l’association départementale a lancé la réalisation d’un arbre à Palabres pour sensibiliser les enfants et les jeunes sur la découverte de la CIDE.
Télécharger la fiche technique du projet : Place à nos droits – Agis pour un environement sain – Edition 2024
Le Forum des Droits de l’Enfant, une journée de valorisation du projet
Depuis deux ans, l’association départementale participe à la semaine départementale des droits de l’enfant qui regroupe partenaires institutionnels et acteurs du monde de l’enfance qui se mobilisent sur la promotion et la défense de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant.
Les productions réalisées dans le cadre de l’opération « Place à nos droits » y sont valorisées, une journée à destination des enfants et des jeunes est également proposée sous forme d’ateliers, d’espaces éducatifs, de jeux avec l’aide de nombreuses associations partenaires.
Cela se déroulera la semaine du 20 au 28 Novembre 2024.
Cette action est co-financée:
Environnement et patrimoine 
C’est mon patrimoine ! participe de l’éducation artistique et culturelle des enfants et des adolescents pendant les vacances scolaires. Accueillis dans les lieux de patrimoine sur l’ensemble du territoire, les jeunes ont accès à différents programmes d’activités pluridisciplinaires. Ateliers, visites théâtralisées, jeux de piste, lectures, danse, performances ou pratique des arts numériques permettent de s’approprier de façon inédite le patrimoine.https://francas30.org/wp-admin/profile.php
C’est mon patrimoine ! participe de l’éducation artistique et culturelle des enfants et des adolescents pendant les vacances scolaires. Accueillis dans les lieux de patrimoine sur l’ensemble du territoire, les jeunes ont accès à différents programmes d’activités pluridisciplinaires. Ateliers, visites théâtralisées, jeux de piste, lectures, danse, performances ou pratique des arts numériques permettent de s’approprier de façon inédite le patrimoine.
Ce projet s’adresse aux enfants et jeunes de centres de loisirs durant les vacances pour :
Partenaire de l’équipe pédagogique du Fort St André à Villeneuve-Lès-Avignon , l’association départementale organise des animations et des ateliers sur ce magnifique site historique.
Retrouver ci-joint le programme des projets pour l’été 2023 : c’est mon patrimoine 2023
Les Francas du Gard sont également partenaires de la Communauté de Communes du Pays de Sommières sur les sites des Terriers et à Ambrussum et au château de Sommières.
Pour plus d’informations :
https://cestmonpatrimoine.culture.gouv.fr/
Veuillez trouver une vidéo de présentation de l’opération C’est mon patrimoine au sein des Francas.
Un centre A’ERE, c’est quoi ?
Un Centre A’ERE est un centre de loisirs éducatif dont l’équipe éducative a choisi de s’engager dans la prise en compte progressive, volontaire et pérenne des questions d’environnement et plus généralement de développement durable. Dans un Centre A’ERE, l’action éducative comme le cadre de vie quotidienne s’animent de manière cohérente et imbriquée
Accéder aux ressources
Un centre A’ERE, c’est quoi ?
Un Centre A’ERE est un centre de loisirs éducatif dont l’équipe éducative a choisi de s’engager dans la prise en compte progressive, volontaire et pérenne des questions d’environnement et plus généralement de développement durable. Dans un Centre A’ERE, l’action éducative comme le cadre de vie quotidienne s’animent de manière cohérente et imbriquée :
Le projet d’un Centre A’ERE repose sur un effort significatif pour s’assurer de la participation réelle et diversifiée de toutes les parties prenantes (enfants, parents, équipes éducatives : animateurs, directeurs, personnels techniques, élus, partenaires, enseignants…).
Le Centre A’ERE, parce qu’il est ancré dans un territoire, peut en outre faire évoluer les pratiques d’autres acteurs (écoles, collectivités, associations…) sur un projet de développement local : la protection, la découverte et l’éducation à l’environnement offrent des sources inépuisables d’actions partagées.
Historiquement reconnu sous l’égide de la démarche Ecocentre de loisirs, l’association départementale accompagnée par un réseau de partenaires (SDJES du Gard, CAF du Gard, le CPIE du Gard et des adhérents) ont inscrit ces objectifs au cœur des projets pédagogiques des accueils collectifs de mineurs.
Le réseau des écocentres de loisirs, c’est des rencontres d’échanges de pratiques, de construction de plan d’actions, de temps de formation et de découverte de nouveaux outils permettant d’animer la démarche auprès des différents publics (enfants, équipe d’animation, familles et partenaires locaux). Les référent.es des écocentres se réunissent une fois par trimestre.
Etre un écocentre de loisirs c’est éduquer les enfants et les jeunes aux questions du développement durable et aux pratiques éco-citoyennes.
Pour intégrer la démarche :
Comment devenir un écocentre de loisirs
Pour davantage d’information, contacter education@francas30.org
Cette démarche est co-financée par :
Un centre A’ERE, c’est quoi ?
Un Centre A’ERE est un centre de loisirs éducatif dont l’équipe éducative a choisi de s’engager dans la prise en compte progressive, volontaire et pérenne des questions d’environnement et plus généralement de développement durable. Dans un Centre A’ERE, l’action éducative comme le cadre de vie quotidienne s’animent de manière cohérente et imbriquée :
Le projet d’un Centre A’ERE repose sur un effort significatif pour s’assurer de la participation réelle et diversifiée de toutes les parties prenantes (enfants, parents, équipes éducatives : animateurs, directeurs, personnels techniques, élus, partenaires, enseignants…).
Le Centre A’ERE, parce qu’il est ancré dans un territoire, peut en outre faire évoluer les pratiques d’autres acteurs (écoles, collectivités, associations…) sur un projet de développement local : la protection, la découverte et l’éducation à l’environnement offrent des sources inépuisables d’actions partagées.
Historiquement reconnu sous l’égide de la démarche Ecocentre de loisirs, l’association départementale accompagnée par un réseau de partenaires (SDJES du Gard, CAF du Gard, le CPIE du Gard et des adhérents) ont inscrit ces objectifs au cœur des projets pédagogiques des accueils collectifs de mineurs.
Le réseau des écocentres de loisirs, c’est des rencontres d’échanges de pratiques, de construction de plan d’actions, de temps de formation et de découverte de nouveaux outils permettant d’animer la démarche auprès des différents publics (enfants, équipe d’animation, familles et partenaires locaux). Les référent.es des écocentres se réunissent une fois par trimestre.
Etre un écocentre de loisirs c’est éduquer les enfants et les jeunes aux questions du développement durable et aux pratiques éco-citoyennes.
Pour intégrer la démarche :
Comment devenir un écocentre de loisirs
Pour davantage d’information, contacter education@francas30.org
Cette démarche est co-financée par :
Sciences et techniques 
Les projets Push-cars, Push-pentes et Caisses à savon permettent aux enfants et aux adolescents de construire des véhicules artisanaux sans moteur. Ces véhicules, qui possèdent au moins trois roues et un système de direction, sont conduits par un pilote et actionnés soit par des pousseurs soit par une pente.
Les projets Push-cars, Push-pentes et Caisses à savon permettent aux enfants et aux adolescents de construire des véhicules artisanaux sans moteur. Ces véhicules, qui possèdent au moins trois roues et un système de direction, sont conduits par un pilote et actionnés soit par des pousseurs soit par une pente.
Les activités Caisses à Savon / Push-cars / Push-pente s’inscrivent dans une démarche de découverte scientifique et technique et permettent aux participants de découvrir, de comprendre, d’acquérir des savoir-faire techniques, de construire, de valoriser leurs réalisations et de se mesurer à d’autres.
L’association départementale vous accompagne dans l’élaboration d’un tel projet et par la mise en place annuellement de rencontres lors d’un championnat départemental de Push Car.
L’activité micro fusée permet de concevoir et construire des fusées prêtes à décoller. C’est l’outil idéal pour s’initier aux techniques aérospatiales et aux lois de l’aérodynamique, tout en pratiquant une démarche expérimentale.
L’activité micro fusée permet de concevoir et construire des fusées prêtes à décoller. C’est l’outil idéal pour s’initier aux techniques aérospatiales et aux lois de l’aérodynamique, tout en pratiquant une démarche expérimentale.
À base de balsa et de carton, elles sont propulsées par un micro-moteur mis en œuvre par un animateur habilité par Planète Sciences ou les Francas (sous la tutelle du CNES _ Centre National d’Etudes Spatiales), et peuvent s’élever à 150 mètres d’altitude avant de redescendre au sol sous parachute.
Planète Sciences et les Francas (habilités pour cette activité) animent un réseau de lanceurs micro fusées, organisent des formations de formateurs, des formations d’animateurs, diffusent le matériel nécessaire à la fabrication, animent des clubs, organisent des campagnes de lancement….
Se former est nécessaire pour pratiquer cette activité en toute sécurité. Des stages, chaque année, sont organisés par Planète Sciences et par délégation aux Francas.
L’activité micro fusée permet de concevoir et construire des fusées prêtes à décoller. C’est l’outil idéal pour s’initier aux techniques aérospatiales et aux lois de l’aérodynamique, tout en pratiquant une démarche expérimentale.
À base de balsa et de carton, elles sont propulsées par un micro-moteur mis en œuvre par un animateur habilité par Planète Sciences ou les Francas (sous la tutelle du CNES _ Centre National d’Etudes Spatiales), et peuvent s’élever à 150 mètres d’altitude avant de redescendre au sol sous parachute.
Planète Sciences et les Francas (habilités pour cette activité) animent un réseau de lanceurs micro fusées, organisent des formations de formateurs, des formations d’animateurs, diffusent le matériel nécessaire à la fabrication, animent des clubs, organisent des campagnes de lancement….
Se former est nécessaire pour pratiquer cette activité en toute sécurité. Des stages, chaque année, sont organisés par Planète Sciences et par délégation aux Francas.
Un grand jeu en ligne à travers le monde.
Autour de la Journée mondiale des télécommunications et de la société de l’information (17 mai), les Francas organisent une opération nationale à destination des enfants et des adolescents.
Un grand jeu en ligne à travers le monde.
Autour de la Journée mondiale des télécommunications et de la société de l’information (17 mai), les Francas organisent une opération nationale à destination des enfants et des adolescents.
La règle du jeu est simple : les jeunes se constituent en équipes et lancent un défi sous forme d’énigme à d’autres jeunes de leur âge par le biais d’internet. Sont au rendez-vous : création d’un défi, valorisation de connaissances liées à son territoire, raisonnement scientifique, usage coopératif des technologies de l’information et de la communication et grand jeu.
Les défis sont mis en ligne début mai pour que chaque groupe de participants commence à en prendre connaissance. Le Cyber r@llye scientifique se déroule ensuite durant 10 jours autour du 17 mai : les groupes découvrent au fur et à mesure les quatre défis qu’ils ont à résoudre.
Ni compétition, ni course de vitesse : juste le plaisir de découvrir de nouvelles connaissances, de mieux utiliser les techniques d’information et de communication, d’échanger avec d’autres jeunes issus des quatre coins de France (de métropole et d’Outre-mer) et d’autres pays.
Le Cyber r@llye scientifique s’inscrit dans la stratégie numérique pour l’école. En lien avec le socle commun, il répond aux programmes scolaires comme aux objectifs pédagogiques d’un centre de loisirs éducatifs.
Nouveauté, vous pouvez vous répondre à des défis tout au long de l’année sur le site www.cyberallyefrancas.fr
Un grand jeu en ligne à travers le monde.
Autour de la Journée mondiale des télécommunications et de la société de l’information (17 mai), les Francas organisent une opération nationale à destination des enfants et des adolescents.
La règle du jeu est simple : les jeunes se constituent en équipes et lancent un défi sous forme d’énigme à d’autres jeunes de leur âge par le biais d’internet. Sont au rendez-vous : création d’un défi, valorisation de connaissances liées à son territoire, raisonnement scientifique, usage coopératif des technologies de l’information et de la communication et grand jeu.
Les défis sont mis en ligne début mai pour que chaque groupe de participants commence à en prendre connaissance. Le Cyber r@llye scientifique se déroule ensuite durant 10 jours autour du 17 mai : les groupes découvrent au fur et à mesure les quatre défis qu’ils ont à résoudre.
Ni compétition, ni course de vitesse : juste le plaisir de découvrir de nouvelles connaissances, de mieux utiliser les techniques d’information et de communication, d’échanger avec d’autres jeunes issus des quatre coins de France (de métropole et d’Outre-mer) et d’autres pays.
Le Cyber r@llye scientifique s’inscrit dans la stratégie numérique pour l’école. En lien avec le socle commun, il répond aux programmes scolaires comme aux objectifs pédagogiques d’un centre de loisirs éducatifs.
Nouveauté, vous pouvez vous répondre à des défis tout au long de l’année sur le site www.cyberallyefrancas.fr
Un grand jeu en ligne à travers le monde.
Autour de la Journée mondiale des télécommunications et de la société de l’information (17 mai), les Francas organisent une opération nationale à destination des enfants et des adolescents.
La règle du jeu est simple : les jeunes se constituent en équipes et lancent un défi sous forme d’énigme à d’autres jeunes de leur âge par le biais d’internet. Sont au rendez-vous : création d’un défi, valorisation de connaissances liées à son territoire, raisonnement scientifique, usage coopératif des technologies de l’information et de la communication et grand jeu.
Les défis sont mis en ligne début mai pour que chaque groupe de participants commence à en prendre connaissance. Le Cyber r@llye scientifique se déroule ensuite durant 10 jours autour du 17 mai : les groupes découvrent au fur et à mesure les quatre défis qu’ils ont à résoudre.
Ni compétition, ni course de vitesse : juste le plaisir de découvrir de nouvelles connaissances, de mieux utiliser les techniques d’information et de communication, d’échanger avec d’autres jeunes issus des quatre coins de France (de métropole et d’Outre-mer) et d’autres pays.
Le Cyber r@llye scientifique s’inscrit dans la stratégie numérique pour l’école. En lien avec le socle commun, il répond aux programmes scolaires comme aux objectifs pédagogiques d’un centre de loisirs éducatifs.
Nouveauté, vous pouvez vous répondre à des défis tout au long de l’année sur le site www.cyberallyefrancas.fr
Découvrir, observer et comprendre les étoiles !
Depuis toujours, partout et pour tout le monde, les cieux et les astres sont un patrimoine universel et accessible : l’astronomie est un formidable moyen de déclencher la curiosité. Dans le cadre du partenariat entre les Francas et l’AFA (Association Française d’Astronomie), la Petite Ourse est proposée en direction des écoles et des centres de loisirs. Cet agrément permet de sensibiliser les enfants à l’observation réelle du ciel et les familiarise aux outils de découverte de l’astronomie. Il permet également d’apprendre un vocabulaire spécifique et d’acquérir quelques connaissances de base.
Découvrir, observer et comprendre les étoiles !
Depuis toujours, partout et pour tout le monde, les cieux et les astres sont un patrimoine universel et accessible : l’astronomie est un formidable moyen de déclencher la curiosité. Dans le cadre du partenariat entre les Francas et l’AFA (Association Française d’Astronomie), la Petite Ourse est proposée en direction des écoles et des centres de loisirs. Cet agrément permet de sensibiliser les enfants à l’observation réelle du ciel et les familiarise aux outils de découverte de l’astronomie. Il permet également d’apprendre un vocabulaire spécifique et d’acquérir quelques connaissances de base.
La Petite Ourse permet d’accéder à un premier niveau d’autonomie pour :
Déroulement des ateliers
Concrètement La Petite Ourse se déroule sur 12 à 16 heures non continues (deux après-midi et deux soirées par exemple). Elle est encadrée par un animateur agréé pour des groupes à petits effectifs.
Exemples d’ateliers :
Pour développer un projet de formation et connaitre les prochaines sessions de formation pour 2021, n’hésitez pas à nous contacter
Découvrir, observer et comprendre les étoiles !
Depuis toujours, partout et pour tout le monde, les cieux et les astres sont un patrimoine universel et accessible : l’astronomie est un formidable moyen de déclencher la curiosité. Dans le cadre du partenariat entre les Francas et l’AFA (Association Française d’Astronomie), la Petite Ourse est proposée en direction des écoles et des centres de loisirs. Cet agrément permet de sensibiliser les enfants à l’observation réelle du ciel et les familiarise aux outils de découverte de l’astronomie. Il permet également d’apprendre un vocabulaire spécifique et d’acquérir quelques connaissances de base.
La Petite Ourse permet d’accéder à un premier niveau d’autonomie pour :
Déroulement des ateliers
Concrètement La Petite Ourse se déroule sur 12 à 16 heures non continues (deux après-midi et deux soirées par exemple). Elle est encadrée par un animateur agréé pour des groupes à petits effectifs.
Exemples d’ateliers :
Pour développer un projet de formation et connaitre les prochaines sessions de formation pour 2021, n’hésitez pas à nous contacter
Découvrir, observer et comprendre les étoiles !
Depuis toujours, partout et pour tout le monde, les cieux et les astres sont un patrimoine universel et accessible : l’astronomie est un formidable moyen de déclencher la curiosité. Dans le cadre du partenariat entre les Francas et l’AFA (Association Française d’Astronomie), la Petite Ourse est proposée en direction des écoles et des centres de loisirs. Cet agrément permet de sensibiliser les enfants à l’observation réelle du ciel et les familiarise aux outils de découverte de l’astronomie. Il permet également d’apprendre un vocabulaire spécifique et d’acquérir quelques connaissances de base.
La Petite Ourse permet d’accéder à un premier niveau d’autonomie pour :
Déroulement des ateliers
Concrètement La Petite Ourse se déroule sur 12 à 16 heures non continues (deux après-midi et deux soirées par exemple). Elle est encadrée par un animateur agréé pour des groupes à petits effectifs.
Exemples d’ateliers :
Pour développer un projet de formation et connaitre les prochaines sessions de formation pour 2021, n’hésitez pas à nous contacter
Découvrir, observer et comprendre les étoiles !
Depuis toujours, partout et pour tout le monde, les cieux et les astres sont un patrimoine universel et accessible : l’astronomie est un formidable moyen de déclencher la curiosité. Dans le cadre du partenariat entre les Francas et l’AFA (Association Française d’Astronomie), la Petite Ourse est proposée en direction des écoles et des centres de loisirs. Cet agrément permet de sensibiliser les enfants à l’observation réelle du ciel et les familiarise aux outils de découverte de l’astronomie. Il permet également d’apprendre un vocabulaire spécifique et d’acquérir quelques connaissances de base.
La Petite Ourse permet d’accéder à un premier niveau d’autonomie pour :
Déroulement des ateliers
Concrètement La Petite Ourse se déroule sur 12 à 16 heures non continues (deux après-midi et deux soirées par exemple). Elle est encadrée par un animateur agréé pour des groupes à petits effectifs.
Exemples d’ateliers :
Pour développer un projet de formation et connaitre les prochaines sessions de formation pour 2021, n’hésitez pas à nous contacter
Jeux & ludothèque 
Le fait de jouer présuppose une action libre, gratuite, fictive, réglée et incertaine. Par libre, nous entendons une action reposant sur les décisions des joueurs, leur choix de jouer ou de ne pas jouer, leur choix d’actions dans le jeu ; par gratuite, une action pour laquelle il n’y a pas d’attentes de résultat, on joue pour jouer ; par fictive, une action au second degré, en dehors de la réalité ; par réglée, une action qui se déroule selon des règles existantes ou se construisant au fil du jeu ; par incertaine, une action dont l’issue ne peut être déterminée par avance.
Nous pensons que l’action de jouer, d’observer ou d’accompagner un jeu déclenche une mise en mouvement physique et mentale, qui peut provoquer du plaisir, des évolutions personnelles, renforcer des apprentissages, faire vivre ou libérer des émotions dans le fictif permettant de mieux les gérer dans la réalité… Nous nommons ces potentialités les “effets induits”
Dans le cadre de son expertise dans la gestion et l’animation d’espaces éducatifs, l’association départementale des Francas du Gard accompagne vos projets et vos besoins en formation sur l’importance du jeu dans l’apprentissage des enfants. De la mise en place d’un espace de jeu non genré, à la proposition de catégories de jeu en fonction des besoins des publics, notre équipe pédagogique peut vous dans la mise en place de temps de formation spécifique et sur mesure en fonction de vos besoins.
Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à nous contacter.
Les ludothèques sont des équipements culturels qui mènent des actions autour du jeu en tant que pratique: l’acte de jouer, et en tant que patrimoine: les jeux et les jouets (Jeu sur place, prêt, animation, conseil/formation…)
Ce sont des lieux ressources gérés par des ludothécaires, ouverts à toutes et tous, qui ont pour mission de donner à jouer, d’accompagner les mises en jeu, de diffuser la culture ludique, et de préserver le jeu de toute récupération.
Les ludothèques sont des équipements culturels qui mènent des actions autour du jeu en tant que pratique: l’acte de jouer, et en tant que patrimoine: les jeux et les jouets (Jeu sur place, prêt, animation, conseil/formation…)
Ce sont des lieux ressources gérés par des ludothécaires, ouverts à toutes et tous, qui ont pour mission de donner à jouer, d’accompagner les mises en jeu, de diffuser la culture ludique, et de préserver le jeu de toute récupération.
Les ludothèques utilisent la charte de qualité qui est le cadre de référence pour toutes les ludothèques françaises ainsi que la fiche-métier de ludothécaire.
Elles accueillent ensemble des publics de tout âge et sont ouvertes aux collectivités les plus diverses (écoles, crèches, centres de loisirs, institutions spécialisées…). Elles proposent du jeu sur place, du prêt, des animations, du conseil.
Ce sont des lieux ressources pour les parents et les professionnels. En favorisant le jeu, les ludothèques aident les enfants à grandir et les parents à vivre des moments privilégiés avec eux. Convivialité, éducation, socialisation et plaisir font le quotidien des ludothèques.
L’association départementale des Francas du Gard gère une ludothèque sur la communauté de communes du Pays de Sommières.
Cette structure éducative est également à l’initiative de nombreuses manifestations à l’échelle intercommunale comme l’organisation de la traditionnelle fête mondiale du jeu organisée généralement le dernier week-end de mai – début juin.
Pour suivre l’actualité de ces lieux éducatifs, je vous invite à les suivre sur les réseaux sociaux :
https://www.facebook.com/caps.francas
L’association départementale fédère également de nombreuses ludothèques dans son réseau associatif tel que l’association PASEO, la ludothèque du centre social RIVES à Vauvert, la ludothèque Ludo l’Escargot du centre social ESCAL à Marguerittes…
L’association est également affilié à l’association des ludothèques françaises et organise le réseau « jeu » départemental.
Les ludothèques sont des équipements culturels qui mènent des actions autour du jeu en tant que pratique: l’acte de jouer, et en tant que patrimoine: les jeux et les jouets (Jeu sur place, prêt, animation, conseil/formation…)
Ce sont des lieux ressources gérés par des ludothécaires, ouverts à toutes et tous, qui ont pour mission de donner à jouer, d’accompagner les mises en jeu, de diffuser la culture ludique, et de préserver le jeu de toute récupération.
Les ludothèques utilisent la charte de qualité qui est le cadre de référence pour toutes les ludothèques françaises ainsi que la fiche-métier de ludothécaire.
Elles accueillent ensemble des publics de tout âge et sont ouvertes aux collectivités les plus diverses (écoles, crèches, centres de loisirs, institutions spécialisées…). Elles proposent du jeu sur place, du prêt, des animations, du conseil.
Ce sont des lieux ressources pour les parents et les professionnels. En favorisant le jeu, les ludothèques aident les enfants à grandir et les parents à vivre des moments privilégiés avec eux. Convivialité, éducation, socialisation et plaisir font le quotidien des ludothèques.
L’association départementale des Francas du Gard gère une ludothèque sur la communauté de communes du Pays de Sommières.
Cette structure éducative est également à l’initiative de nombreuses manifestations à l’échelle intercommunale comme l’organisation de la traditionnelle fête mondiale du jeu organisée généralement le dernier week-end de mai – début juin.
Pour suivre l’actualité de ces lieux éducatifs, je vous invite à les suivre sur les réseaux sociaux :
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L’association départementale fédère également de nombreuses ludothèques dans son réseau associatif tel que l’association PASEO, la ludothèque du centre social RIVES à Vauvert, la ludothèque Ludo l’Escargot du centre social ESCAL à Marguerittes…
L’association est également affilié à l’association des ludothèques françaises et organise le réseau « jeu » départemental.
